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L’Assemblée générale de l’Organisation mondiale de la santé de Genève a adopté deux décisions au profit de l’État de Palestine, la première liée à l’adhésion de la Palestine aux réglementations internationales de la santé, et la seconde de la détérioration des conditions de santé dans les terres palestiniennes occupées, y compris la Jérusalem de l’Est.
Il a voté en faveur de la décision de l’État de Palestine de se joindre aux réglementations internationales de la santé, soumises par l’État de Palestine, 112 pays, tandis que (Hongrie et Israël) s’y est opposée, et 19 s’y sont abstenus de voter, selon l’agence de presse palestinienne (WAFA) aujourd’hui, vendredi.
La décision a adopté la pleine jointure de l’État de Palestine pour les réglementations internationales de la santé, qui est un système de lois et de procédures qui réglementent la relation entre les ministères de la santé nationale et de l’Organisation mondiale de la santé, en particulier dans les domaines de l’urgence et de la réponse aux épidémies et aux fans.
Cette étape est un changement qualitatif dans le fait que la Palestine bénéficie d’un soutien international dans les urgences de la santé et des mécanismes internationaux de coopération et de coordination pour fournir des soins de santé appropriés à la population palestinienne.
Le règlement de l’année 2005 a approuvé et entré en vigueur en 2007, car l’État de Palestine avait un point de contact officiel avec l’organisation depuis 2010, mais maintenant, et avec cette décision, il est traité comme d’autres États membres, ce qui lui donne pleinement le pouvoir de bénéficier de tous les supports techniques et techniques fournis par le règlement.
L’Assemblée générale a également adopté une deuxième décision intitulée « Conditions de santé dans les terres palestiniennes occupées, y compris Jérusalem-Est », et une voix en faveur des pays de la résolution 114, et a été opposé par (Hongrie et Israël), et 15 de vote.
La décision met en évidence la grave détérioration des conditions de santé, en particulier dans la bande de Gaza, et exige la levée du siège de l’occupation israélienne et permettant l’arrivée de l’aide humanitaire et médicale sans restrictions.
La décision a souligné la nécessité de respecter le droit international humanitaire, de protéger les établissements de santé et de leurs travailleurs et de cesser d’attaques répétées sur eux.
Le rapport soumis à l’association a montré que 94% des établissements de santé à Gaza ont été détruits et qu’aucun hôpital ne fonctionne à pleine capacité, tandis que 19 hôpitaux sur 36 ne fonctionnent que.
Il a également indiqué que 43 catégories de médicaments de base étaient épuisées, tandis que l’occupation empêche toujours une aide médicale pendant plus de 80 jours, et seulement deux camions ont été autorisés à entrer.
(Petra)