L’inflation française augmente plus que prévu en juin

Le taux d’inflation en France a augmenté plus que prévu au cours du mois de juin (juin), et selon les données préliminaires fournies par l’Institut national des statistiques et des études économiques de vendredi, une série de baisses enregistrées ces derniers mois au milieu de la baisse de la fréquence de l’accélération et des faibles prix de l’énergie dans les prix des services s’est terminée.
Selon les données, le taux d’inflation annuel uni (coordonné par les normes de l’Union européenne) a atteint le niveau le plus bas depuis décembre 2020 contre 0,8% en juin, contre 0,8% en juin. Les attentes ont augmenté de 0,7% par rapport à l’enquête de Reuters auprès de 19 analystes avec leurs prévisions de 0,4%. Et 0,8%.
Cette accélération est principalement attribuée à des taux de service élevés qui augmentent de 2,4% sur une base annuelle, contre 2,1% en mai, en raison de l’augmentation des coûts de résidence, de santé et de transport. Les prix des denrées alimentaires ont augmenté de 1,4% contre 1,3% le mois précédent.
D’un autre côté, les prix de l’énergie ont continué de diminuer, mais en mai, il a diminué de 6,9% sur une base annuelle contre 8,0%, ce qui a diminué l’effet de contraction, ce qui a récemment contribué à la prévention de l’inflation.
Quant aux prix des biens industriels, les prix du tabac n’ont pas changé à -0,2% contre 4,1% en mai.
Selon l’indice local des prix à la consommation en France, l’inflation est passée à 0,9% en juin, contre 0,7% en mai.
Malgré cette augmentation, la France enregistre toujours l’un des taux d’inflation les plus bas de la région de l’euro, qui reflète les politiques de soutien des États et les chaînes d’approvisionnement sans problème par rapport à d’autres pays.
La banque centrale européenne avait réduit les taux d’intérêt début juin pour la première fois depuis le début du cycle de compression, et l’inflation dans la zone euro a ralenti inférieur à 2% de la banque de la banque. La présidente de la banque, Christine Lagarde, a confirmé que la fondation était « en bonne place » pour répondre à l’évolution de l’environnement économique.
Le gouverneur de la banque française, François Felii de Gulho, a déclaré que les changements futurs de la politique monétaire par la Banque centrale européenne prendront la forme de réductions supplémentaires des taux d’intérêt si les prix des prix continuent de diminuer de manière durable.