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La normalisation avec Israël est rejetée par tous les Libanais …

Le Premier ministre libanais Nawaf Salam a confirmé mercredi, que la normalisation avec Israël au Liban est « rejetée » de tous les citoyens.

Les remarques de Salam sont survenues lors de sa réception d’une délégation du Conseil du syndicat éditorial dirigé par Joseph Al -Qushaifi, selon un communiqué de la présidence du gouvernement.

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Les déclarations se présentent en conjonction avec les médias qui parlent de la pression des États-Unis sur le Liban afin d’être d’accord avec Israël, de sorte que la relation entre eux est « moins que la normalisation et supérieure à l’accord d’armistice », selon les sites des médias locaux.

À cet égard, Salam a déclaré que « personne ne veut se normaliser avec Israël au Liban, et il est rejeté par tous les Libanais ».

Il a souligné que la pression internationale et arabe sur Israël pour arrêter ses attaques contre le sud du Liban « ne s’est pas épuisée », soulignant « la disponibilité continue des moyens de pression politique et diplomatique », qui n’a pas été déterminée.

Il a considéré que les cinq points frontaliers auxquels Israël adhère au séjour dans le sud du Liban « n’a aucune valeur militairement ni sécurité, sauf pour maintenir leur pression sur le Liban. »

Selon le communiqué, Peace a décrit la situation dans le sud du Liban comme « inquiétante » à la lumière des attaques israéliennes continues, en particulier après l’opération de missile la semaine dernière vers la colonie de « négligeant » dans le nord d’Israël, Tel Aviv a déclaré qu’il provenait du Liban.

Malgré la validité d’un accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah le 27 novembre 2024, Israël a commis 1263 violations, qui ont fait 100 morts et au moins 331 blessés, selon un recensement d’Anatolie basé sur des déclarations libanaises officielles.

Israël a rejeté l’achèvement de son retrait du sud du Liban d’ici le 18 février, contrairement à l’accord, car il a mis en œuvre un retrait partiel et continue d’occuper 5 grandes collines libanaises, dans les zones qu’elle occupait lors de la récente guerre.

J’ai également récemment commencé à établir une bande frontalière qui s’étend sur un kilomètre ou deux à l’intérieur du territoire du Liban.

En ce qui concerne la situation dans la bande de Gaza, le Premier ministre libanais a rejeté toutes les déclarations israéliennes sur le déplacement des habitants de Gaza et de la Cisjordanie occupée, et les efforts pour « établir un État palestinien en dehors de la Palestine historique », selon la même source.

Salam a souligné la nécessité de mobiliser le soutien arabe et international « pour affronter ce projet israélien ». (Anatolie)

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