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Du rôle traditionnel à un enseignant conçu pour les expériences et les chemins (4) …

Lorsque nous rédigeons les caractéristiques de l’école que nous rêvons, il ne suffit pas d’entendre la voix de l’élève et de transformer les programmes en chemins d’apprentissage élastique ou de changer la forme de la journée scolaire, si nous ne touchons pas l’essence de l’expérience éducative, l’enseignant. Nous ne pouvons pas construire l’avenir de l’éducation et nos mains tremblantes avec la redéfinition de son rôle. Nous ne pouvons pas rêver d’un enfant ou d’un élève gratuit, si nous ne libérons pas l’enseignant des anciens rôles étroits.Ajouter une publicité

La réalité d’aujourd’hui. L’enseignant n’est plus tenu d’expliquer, car les informations sont disponibles partout. Son rôle n’est plus de résider, car les systèmes intelligents suivent chaque impulsion à l’intérieur de la classe. Ce dont l’éducation a besoin aujourd’hui, c’est d’une personne qui voit ce que les algorithmes ne voient pas, entend ce qui n’est pas dit et tient les fils d’apprentissage à les relier à la vie. L’enseignant est aujourd’hui déterminé. Pour créer des espaces dans lesquels l’enfant apprend, non pas parce qu’il est forcé, mais parce qu’il est passionné par l’empressement de la découverte.
Mais il ne suffit pas de lui demander cela, sans lui donner des outils, du temps et de la confiance. Si nous voulons qu’un enseignant conçue l’apprentissage, nous devons d’abord changer la façon dont nous concevons ses outils. Nous ne voulons pas qu’un livre de professeurs prêt à l’emploi lui dise ce qu’il dit. Nous voulons planifier de ne pas mettre fin au contenu, mais de créer un sens.
Afin de concevoir une expérience, il doit avoir du temps. Le calendrier de l’enseignant ne peut pas rester plein de classes successives qui ne le laissent pas une minute pour penser, noter ou reconsidérer. Il ne peut pas faire de rythme interne pour la séparation, s’il n’y a pas de flexibilité le jour de l’école qui lui permet de ralentir le temps quand il en a besoin, et de l’accélérer lorsque l’étincelle d’inspiration est enflammée. Le nouveau professeur ne suit pas le rythme du calendrier, mais le fait plutôt sur son chapitre, lit leur fatigue, leur enthousiasme, leur errant, alors il choisit quand il s’arrête, quand il continue et quand le chemin change.
Et lorsque nous reconsidons l’évaluation, nous ne voulons pas que ce soit juste un correcteur, mais plutôt un miroir dans lequel les petites marches de l’élève, ses idées ininterrompues, ses questions et ses tentatives se reflètent. Nous devons restaurer son rôle d’accompagnement de la croissance de l’enfant, pas un dirigeant de sa réussite. Nous devons faire les outils d’évaluation avec ses mains, les utiliser pour comprendre, pas pour juger. Ses élèves ne demandent pas les réponses, mais sur le parcours qu’ils ont traversé pour atteindre. Les notes d’enregistrement, dessine des cartes de développement, envisagent le changement d’humeur, pas seulement dans les résultats des nombres.
Et si nous voulons le soutenir, alors nous devons créer une société professionnelle pour qu’il apprenne de lui et de lui. Nous ne voulons pas être formés dans des salles fermées loin de sa réalité, mais plutôt échanger avec ses collègues ce qui se passe réellement à l’intérieur de la classe. Pour voir leurs leçons, les regarder, les discuter, inspirer et inspirer. Nous voulons sentir que l’école est un endroit où il apprend également, pas seulement ses élèves. Nous voulons diriger au sein de sa communauté éducative, pour être appelé à la rédaction de la décision, que sa voix soit présente lorsqu’il adopte des politiques.
Et si nous entrons dans l’intelligence artificielle à l’école, entrons-y en miséricorde, pas comme un contrôle. Nous voulons augmenter la grossesse de l’enseignant, pas le regarder. Pour analyser la performance de l’élève à la place, suggérer des chemins d’apprentissage, pour l’aider à planifier, mais il ne remplace pas son humanité. Parce que l’enseignant seul sait quand pénétrer le silence avec une question, ou quand il est silencieux pour laisser l’idée grandir dans la tête d’un enfant.
Le nouveau professeur est un poète de classe, un ingénieur de classe et des installations de voyage. Sa journée ne commence pas à vérifier les participants, mais plutôt en faisant attention au pouls des petites âmes qui sont entrées dans la classe à la recherche de quelque chose. Il n’attend pas la fin de la session, mais crée plutôt des moments à l’intérieur qui restent vivants même après la fin des temps.
Parce que lorsque nous donnons à l’enseignant cette liberté, nous le libérons non seulement, mais nous sommes libres d’apprendre de ses anciens modèles.
Et voici l’élève, s’il n’entre plus dans la classe pour apprendre, mais participer, découvrir, formuler son monde de sa curiosité. Il n’a plus comparé son collègue, mais se compare plutôt à son épisode hier. Il ne coure plus dans le domaine des autres, mais construit plutôt son propre chemin, marchant avec un rythme d’écoute pour sa voix intérieure, pas pour le début du début et une fin qui ne le signifie pas.
Et voici ses questions qui ne sont pas raccourcies, non reportées et ne sont pas fermées à la fin de la session. Sa pensée n’est pas silencieuse lorsque la cloche est frappée, et il n’est pas nécessaire d’oublier ce qu’il a occupé hier car il est temps pour un « nouveau sujet ». C’est dans une expérience d’apprentissage vivant, vous ne connaissez pas la coupe et vous n’avez pas peur de l’extension.
Mais … Au cœur de tout cela, un commentaire demeure: comment évaluer ce voyage? Est-il suffisant de lui fixer un numéro? Pouvez-vous raconter l’histoire d’un enfant qui avait peur de la question, puis a osé et demandé? Est-il suffisant pour une marque de décrire un chemin rempli de tentatives, curieux, surprenant, en trébuchant, en se levant?
Évaluation?
Il est peut-être temps de le re-imagine, non pas comme un outil de jugement, mais comme un outil de compréhension, de lumière, de direction.
Dans l’article venant de « Beyond What If! » Nous retirerons la poussière de l’évaluation, et nous essaierons de le voir avec un nouvel œil.
* Un premier conseiller de l’éducation précoce et le leadership des établissements d’enseignement

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