Des bateaux à la garde civile: « S’ils m’aident, je peux faire de même. »

Jean Paul a dû migrer de son pays et le sauver en mer pour eux aujourd’hui ses camarades
Mercredi 25 juin 2025, 16:11
C’est ainsi qu’il a grâce à ceux qui lui ont sauvé la vie. Jean Paul a quitté son pays à cause de la misère et a réussi à atteindre l’Espagne. Mais cette histoire ne sera pas possible si la garde civile ne la sauve pas au milieu de la mer. Aujourd’hui, il est devenu l’un des 249 agents de la treizième promotion de la Civil Guard Academy, qui a terminé à Paisa une étape de leur avenir pour commencer une nouvelle. Et celui de ce Cameroun est une joie spéciale.
«Elle a quitté le Cameroun à cause de la situation difficile dans laquelle la famille a traversé. Ensuite, j’ai décidé de quitter le pays pour m’améliorer. La première fois que j’ai vu la garde civile, c’était dans un bateau, ils sont venus me sauver. Nous étions dans l’eau et nous ne voyions pas la terre. Ils étaient les anges gardiens. C’était une position dans laquelle vous ne saviez pas s’ils arrivaient ou non. Ils nous ont sauvés et nous ont donné une nouvelle vie.
Maintenant Jean Paul Les parents du journal « parfait »Vous pouvez faire de même que le Sauveur. Le désir du visage, mais aussi la fierté de sa réussite. «Je pense qu’avant l’opposition, nous savons déjà à quoi nous sommes confrontés. Être dans la garde civile signifie que nous pouvons donner vie pour défendre une personne dont il a besoin. Si d’autres le font, nous sommes prêts à le faire.»
«La raison pour laquelle j’ai décidé de m’opposer à lui, c’est que s’ils m’aident et pour eux, je le suis. Je pense que je peux faire de même pour les personnes dont ils ont besoin», c’est-à-dire que le motif de Jean -Paul est maintenant une profession dans laquelle il vivra à vie.