La recherche selon laquelle la taxe sur les super riches peut conduire à la justice sociale | Économie

Le ministère des Finances de l’enquête a publié ce vendredi (13) Taux «minimum» Impôt sur le revenu pour les particuliers (IRPF) R 50 000 $ par mois Un grand nombre de contribuables sont garantis d’être exonérés.
L’étude approuve l’étude protégée par le gouvernement fédéral sur la base des données des rapports de l’IRPF et de la National Continu Home Survey (BNADC-A).
L’impact de la réforme de l’IRPF sur la réforme de l’IRPF sur le PL 1.087 / 25, affirmant: « L’exclusion de l’isolement d’exonération de l’exonération peut ne pas atténuer la dégénérescence de l’impôt direct au Brésil, et même étendre l’inégalité du revenu, sans un impact financier négatif sans compensation par le biais de l’impôt minimum sur Super Rich. »
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Selon le plan du gouvernement central, la « taxe minimale » (IRPFM) représente environ 0,2% des riches contribuables du pays – donc les « super riches », ils reçoivent au moins 50 000 $ par mois – il s’agit de 000 600 000 par an.
De ce montant, le taux augmente progressivement jusqu’à 10% de 1,2 million de dollars par mois.
La taxe minimale sur Super Rich permettra au gouvernement de payer la réduction de l’IRPF à 14,5%.
L’exemption IRPF sera totale pour ceux qui gagnent jusqu’à 5 000 $ par mois; Et zone pour ceux qui gagnent jusqu’à 5 000 $ par mois, 000 7 000.
Dans l’évaluation du ministère des Finances, la réforme intégrée proposée dans le numéro PL 1 087 est « nécessaire pour promouvoir un excellent système fiscal le plus équivalent et contribuer à réduire les inégalités des revenus au Brésil ».
Scène 1
L’enquête présente trois images d’analyse concluant que « seule l’approbation du plan reliant l’exemption à la ligne minimale réduira les inégalités dans le pays ».
Le premier montre le modèle IRPF actuel, qui est l’année de base 2022.
L’étude a révélé que l’imposition permanente de la taxe d’utilisation la plus basse pour les couches les plus élevées, c’est-à-dire, plus de 0,7% des notifications (ou 0,2% de la population) ont trois problèmes pour les riches.
Non seulement la taxe ne suit pas les principes de la justice et de la justice sociale, mais cet affichage n’ajuste pas l’écart du revers en haut de cette distribution d’affichage. Enfin, cela élargira davantage les inégalités dans le pays.
Scène 2
Si la deuxième scène s’est produite en 2022, les traces du contribuable simulent l’exemption et la mise en œuvre de la remise.
Cette affaire est quelque peu exonérée pour ceux qui gagnent jusqu’à 5 000 $ pour jusqu’à 5 000 $, et pour ceux qui gagnent jusqu’à 7 000 sans impôts minimums, ce résultat est « petit dans les progrès IRPF », et « toute la population s’aggrave dans la livraison de revenus du pays ».
Scène 3
La troisième scène montre à quoi ressemblera la situation si les activités de l’exemption sont mises en œuvre conjointement avec la taxe minimale des riches.
En conséquence, selon l’enquête, « la déviation de l’IRPF en haut de la distribution » est diminuée.
De plus, avec l’expansion des progrès, il ne garantit pas la cohérence financière. L’étude conclut que les inégalités des revenus dans le pays réduiront réellement.
Fin
L’étude conclut que « en termes de distribution de revenu entre certains revenus, la proposition entière (exonéré + IRPFM), qui réduit efficacement les inégalités dans la situation actuelle », conclut l’étude sur la base de mesures statistiques indiquant l’inégalité de la répartition des revenus.
Si la proposition du gouvernement est approuvée, le Code, qui est actuellement de 0,6185, diminuera à 0,6178 et «favorise la justice fiscale plus élevée et l’égalité à faible revenu».
« Sans l’opposé de la taxe minimale sur le loyer élevé, l’exclusion du revenu le plus bas et la seule remise, ce qui aggrave l’inégalité des revenus dans le pays (l’indice de Guinée de 0,6192). »
En outre, il fait référence à « une menace pour la stabilité financière, car il n’y a pas de rémunération majeure pour les recouvrements d’impôts dans le revenu de la distribution de la première place, qui paie actuellement des proportions beaucoup plus faibles que les contribuables à faible revenu ».