Économie

« Justice internationale » ouvre des séances d’écoute sur les obligations humanitaires israéliennes

Aujourd’hui (lundi), la Cour internationale de justice, les obligations humanitaires d’Israël, pendant plus de 50 jours après avoir appliqué un siège complet à l’entrée de la guerre de guerre ouvrira un hebdomadaire.

Les représentants des Nations Unies commenceront un marathon de cinq jours à la Cour internationale de justice de la plus haute cour des Nations des Nations Unies (Pays-Bas) devant la Haye devant un organe composé de 15 arbitres. La province palestinienne sera la première personne à livrer la plupart de la journée.

Cette semaine, 38 pays, l’Union des États arabes, l’organisation de coopération islamique et l’Union africaine, ainsi que les États-Unis, la Chine, la France, la Russie et le Royaume d’Arabie saoudite leur permettra de mendier.

En décembre, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté la majorité d’une décision soumise par la Norvège et a demandé à la Cour internationale de justice de donner un avis sur la Cour de justice.

La décision appelle la Cour internationale de justice à clarifier ce que Israël devrait faire dans le cadre de l’existence des Nations Unies, de ses agences, des organisations internationales ou des pays tiers.

Israël contrôle tout le flux vital des flux d’aide internationale pour 2,4 millions de Palestiniens dans la bande de Gaza, qui souffre d’une crise humaine sans précédent, et Israël a réduit cette aide le 2 mars, quelques jours seulement avant l’effondrement d’un cessez-le-feu fragile après une lutte continue de 15 mois.

Northern Gaza Strip (AP) Les personnes atteintes de Palestinien déplacées dans une file d’attente pour obtenir une part de nourriture d’une cuisine caritative à Jabalia

Vendredi, le commissaire des Nations Unies aux Nations Unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a condamné Philip Lazarini, « un homme d’un homme avec des motifs politiques ».

Selon les Nations Unies, environ 500 000 Palestiniens ont été déplacés depuis la fin du cessez-le-feu de deux mois.

Israël a continué d’attaquer l’air et la terre le 18 mars, ce qui a conduit à la crise humaine « peut-être la pire » depuis le début de la guerre en raison de l’attaque du mouvement du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.

déception

Cette attaque, selon le recensement de «l’agence de presse française», qui est basée sur les chiffres israéliens officiels, a provoqué le meurtre de 1218 personnes par la partie israélienne.

Depuis lors, les opérations de représailles militaires israéliennes ont tué au moins 52 243 personnes à Gaza, selon les chiffres du ministère de la Santé en Strip, que les Nations Unies pensaient qu’elle était fiable. Au moins 2111 Palestiniens ont été tués depuis le 18 mars.

Les responsables israéliens répètent que la pression militaire est le seul moyen de forcer le Hamas à libérer 58 hôtes qui sont toujours détenus à Gaza, dont 34 personnes qui ont expliqué qu’ils avaient été tués.

À la suite des raids d’Israël dans la bande de Gaza, un côté de la destruction (AFP)

Les points de conseil sur la Cour internationale de justice ne sont pas juridiquement contraignants, mais cette vision de la consultation augmentera la pression diplomatique sur Israël.

En janvier 2024, la Cour internationale de justice a appelé à Israël à empêcher les travaux possibles du génocide et à permettre à l’aide humanitaire d’entrer dans Gaza. À la demande de l’Afrique du Sud, qui a accusé la situation du génocide hébreu en mars 2024, le tribunal a demandé au nouvel Israël de faire face à la « famine » propagée au secteur palestinien.

« Les parties participant au conflit n’ont pas pris un grand engagement à respecter le droit international », a déclaré Harris Horimagic, doctorat à l’Institut de maîtrise génois (Suisse). Il a dit.

« La demande d’opinion de consultation reflète la large déception d’un manque de dialogue pour aborder la situation des catastrophes à Gaza. »

En juillet dernier, la Cour internationale de justice a émis un avis consultant dans lequel Israël considérait l’occupation du territoire palestinien comme « illégal » et voulait être achevé dès que possible.

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