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Dernière fois du conflit au Moyen-Orient, vivre | Albars veut un embargo pour la vente d’armes à Israël lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères de 20 pays à Madrid | International

Albares insiste sur le fait que la solution des deux états est « la seule alternative »

Le ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, a déclaré dimanche que la solution des deux États était la « seule alternative » pour le conflit entre Israël et la Palestine.

« Qu’est-ce qu’une alternative? Tuer tous les Palestiniens? Où tous les Palestiniens sont déplacés? (…) pour eux Israël? » L’éditeur public français a demandé la France dans certaines déclarations.

Quelques heures après le début de la réunion du groupe Madrid, qui a été assistée par les pays européens et musulmans pour trouver une sortie de la situation à Gaza, il a souligné que sa cinquième nomination s’est réunie avec environ vingt pays que jamais. Le premier but de sa nomination était de « arrêter cette guerre » qui a fait de Gaza un « cimetière formidable », puis « une grande aide humanitaire était neutre sans obstacles ».

Deuxièmement, il s’agit de rechercher une « solution politique authentique » à travers un État palestinien « réaliste et applicable », qui donnera « la stabilité et la paix à chaque Moyen-Orient. Selon son front, il doit avoir une autorité palestinienne renforcée, la » légitimité « de l’EP serait dans une meilleure condition lorsqu’il a gardé l’accouchement à cause de l’impôt s’il n’avait pas affaibli par Israël.

Le président de la diplomatie espagnole a souligné que l’EP est une alternative au Hamas, qui est une « organisation terroriste » et ne sera pas à la réunion de Madrid, car elle crée un « vrai problème » pour la quête de la paix.

De nombreux pays européens, comme l’Espagne, l’Irlande et la Norvège, ont reconnu l’État palestinien pendant le conflit de Gaza, et la France et l’Arabie saoudite prendront une conférence à New York pour essayer de commencer la reconnaissance croisée de Palestine et d’Israël le 18 juin.

Les Albars ont clairement indiqué que l’Espagne n’avait pas à enseigner la Palestine à un autre pays comme la France, mais a insisté sur le fait que cette étape était « la meilleure façon de protéger la solution des deux États ». (Efe)

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