L’opposition à la Chambre des représentants interagit avec le pouvoir judiciaire de l’IOF et a promis de «répondre à la hauteur» | politique

Le chef de l’opposition à la Chambre des représentants, Zucco (PL-RS), a été publié sur le réseau social X, le mardi 1er, une note sur le bloc dans lequel le gouvernement déclare la guerre contre le Congrès national « en décidant de recourir à la Cour suprême (STF) pour restaurer le décret présidentiel qui modifie la taxe sur les opérations financières (IOF).
La manifestation s’est entretenue après que le procureur de la Fédération (AGU) a annoncé la décision du président Luiz Inacio Lula da Silva d’entrer dans la Cour suprême avec une phrase publicitaire pour que la constitutionnalité reflète le renversement du décret, approuvé au Congrès la semaine dernière.
La note indique: « La décision du procureur du syndicat (AGU) d’exploiter la Cour suprême fédérale (STF) contre les délibérations souveraines de la souveraineté à la Chambre des représentants et le Sénat fédéral, qui a maintenu l’augmentation de la PDI, est une insulte inacceptable pour l’autorité législative et une attaque dangereuse contre la démocratie. »
Le texte continue: « C’est une autre tentative autoritaire du gouvernement Lula de donner au caractère judiciaire un problème politique éminent, dans le but d’imposer le pouvoir d’éliminer ce qu’il a perdu lors du vote, à grande échelle et de transparence, à la Chambre des représentants. Ainsi, le gouvernement déclare la guerre au Congrès national. »
Selon la manifestation, le projet de décret législatif qui a maintenu l’augmentation de l’OOF est « entièrement constitutionnel » car il se produit par un travail abusif du gouvernement.
« Il maintient les effets d’un décret présidentiel nettement inconstitutionnel. L’IOF est une taxe réglementaire, ne recueille pas la nature. Le gouvernement a utilisé cet outil de manière abusive, dans le seul but d’augmenter le groupe à couvrir l’écart financier qu’elle a causé, sans aucune échelle réelle pour contrôler les dépenses.
« L’opposition est répétée: l’amendement financier dont le Brésil a besoin n’aura pas lieu sur les travailleurs et les hommes d’affaires. Cet amendement doit s’accompagner de dépenses excessives, réduire les ministères, contenir des voyages, éliminer la situation et la fin de l’utilisation électorale de la machine publique. Mais ce gouvernement refuse de réduire sa propre viande. »
L’opposition continue: « La réponse sera ferme. Le Congrès sera en mesure de répondre au temps. Le peuple brésilien ne peut plus punir plus d’impôts tant que le gouvernement insiste pour diviser le pays, régissant la base de la confrontation et du mensonge à la population. La démocratie nécessite le respect entre les autorités, et c’est ce que le président viole à nouveau pour son équipe. »