Le scandale de traitement illégal de l’eau minérale en bouteille secoue la France

Jusqu’à 500 millions d’euros. Le Sénat français considère que Nestlé a remporté ce nombre élevé grâce à une fraude dans le traitement de l’eau … Mineraux dans plusieurs sources en France. Un rapport de la Chambre des représentants, un autre chapitre de ce scandale qui affecte les multinationales depuis l’année dernière. C’est un problème avec une possibilité explosive pour le spray du directeur exécutif, Ghali. Son administration a été interrogée en raison de son manque de transparence et a permis le système de filtrage microbiologique controversé. À l’origine de cette crise, il y a une pollution accrue du plan des eaux souterraines à la suite de produits chimiques utilisés dans l’agriculture et une exploitation excessive des ressources naturelles.
«En plus du manque de transparence dans les Watermes Nestlé, nous devons confirmer que l’État, à la fois en ce qui concerne les autorités locales et européennes, ainsi qu’en ce qui concerne les Français. (…) Ce déguisement était dû à une stratégie délibérée, qui a été traitée de la première rencontre entre les côtes dans ce cas du 14 octobre 2021. C’est encore sans transparence après quatre années,« ce rapport condamne. Ce document est un fruit d’eau dans le monde.
Une enquête menée par « Le Monde » et « France Info » avait déjà révélé les premières informations sur le scandale Nestlé. Il consiste à utiliser une série de filtres (carbone actif, rayons ultraviolets et filtration fine) pour désinfecter plusieurs sources. Ce système a été utilisé dans 30% de ses marques. Même l’entreprise est un liquide mixte des zones contaminées par de l’eau potable (mais traitée) pour réduire la présence de molécules toxiques. Cela représente une contradiction dans sa position de « minéraux », qui implique un prix beaucoup plus élevé que le prix qui sort du TAP en raison de sa pureté.
Il existe les sources les plus touchées dans le cercle sud de Gard – à partir de là l’eau de Perrier – mais aussi dans le nord-est de la France (marques Hépar, Vittel et Conndx). Ce système frauduleux a commencé il y a plus de quinze ans dans l’une de ces usines dans le nord-est du pays, selon l’enquête initiale sur le bureau du procureur d’Epinal, qui a été réalisée par le journal numérique « MediaPart ».
La société l’a promu en découvrant la pollution de ses sources, probablement en raison de plusieurs facteurs: pesticides, produits chimiques éternels, défécation animale, changement climatique et exploitation excessive des ressources de la couche des eaux souterraines. Dans le cas du GARD, par exemple, le montant extrait a presque replié au cours de la dernière décennie, de 811 000 mètres cubes à 1,57 million chaque année.
« Grande présence » pour le virus
En regardant cette pollution, le groupe Helvetic a commencé à utiliser ces filtres, tout en réalisant qu’ils ne s’adaptent pas aux réglementations du parti. Nestlé lui-même est reconnu dans un document secret au milieu de -2022 – le récemment requis par « Mediatart’es – que leurs méthodes » n’étaient pas satisfaites des réglementations françaises. « Lorsqu’il a réalisé son projet, il avait déjà contacté l’autorité exécutive française et le Conseil des ministres, Emmanuel Macron. Informant les consommateurs.
En fait, le conseiller présidentiel, responsable des questions agricoles, a averti dans l’échange d’e-mails avec Macron sur « une grande présence de virus qui ne sont pas éliminés par le système de filtrage ». Cette « affaire » a pulvérisé l’ancien secrétaire général d’Elysee, Alexis Koller – connu comme « vice-président de l’ombre » en raison de sa relation étroite depuis 2014 avec l’actuel président de l’État – qui a refusé d’annoncer devant le Comité du Sénat il y a quelques semaines avant de quitter sa position fin mars. Néanmoins, le président a déclaré en février qu’il n’y avait pas de « complicité » ou « accord » avec Nestlé.
La justice presse également Nestlé
Le Sénat Burja, Ozil, Gohail et Ayilai proposent le rapport.
AFP

Le scandale de la fraude dans les eaux métalliques Nestlé ne se terminera pas avec le rapport du Sénat français. Le Bureau des poursuites publiques (au sud-est de la France) a demandé à la société suisse de retirer le système de micro -nomination pour ses sources dans ce domaine et de s’adapter aux réglementations françaises. Il a exigé que cela le fasse avant le 7 juillet, et dans le cas où cela ne serait pas fait, il l’a menacée de vengeance judiciaire.
Le ministère général considère que ce système « ajuste la formation et contredit le règlement ». Il se rend compte qu’il n’est pas vraiment lié à l’eau minérale, bien que le directeur général du groupe ait indiqué à la fin de l’année dernière qu’ils ont cessé d’utiliser des technologies frauduleuses et que « toute l’eau est pure ». Nestlé a déjà payé une amende de deux millions d’euros pour éviter de faire face à une expérience de ce problème, avec l’impact des médias croissants en France. Il a également été contraint de détruire trois millions de bouteilles l’année dernière en raison de la violation des normes.
Bien que la société affirme qu’elle a cessé d’utiliser ces technologies, le risque de fraude se poursuit, selon l’agence régionale de la santé d’Oxytanie (le pays du sud). Le rapport sénatorial critique la rareté des « défis complets qui interdisent les traitements qui ne sont plus appliqués ». De plus, 28 normes suggèrent cette position. L’un d’eux est un meilleur signe de bouteilles pour informer les consommateurs. Il appelle à « un contrôle efficace sur les niveaux d’extraction d’eau que les industriels réalisent », car il est considéré comme l’exploitation excessive de ces ressources comme l’un des facteurs qui expliquent cette pollution.