Valvio Dino critique la « surveillance agressive » des États-Unis sur la politique des réseaux sociaux

Le ministre Flevio Dino de la Cour suprême fédérale (STF), le mercredi 25, a critiqué le « suivi le plus agressif » des États-Unis sur les réseaux sociaux. La déclaration s’est produite lors de la session dirigeante des règles de marque civile sur Internet à la Cour suprême.
Dino a critiqué les États-Unis pour appliquer les sanctions à partir de publications Internet. Le ministre dit: « Ils sont punis pour la façon de supprimer le contenu?
Dino a également critiqué la demande américaine que certains citoyens conservent des comptes sur les réseaux sociaux avec la perception du public. « Ils n’ont même pas le droit de choisir, de liquider leurs propres frais », a-t-il déclaré.
Le 18 juin, le Département d’État américain a annoncé la reprise du visa pour émettre des étudiants étrangers après le début de la suspension temporaire en mai. Cependant, tous les candidats doivent faire leurs réseaux sociaux, permettant d’accéder à leur contenu analysé, qui a été critiqué par le ministre STF.
Règle Internet Marco Civil
Le procès STF tourne autour de l’article 19 d’Internet Civil Marco, qui interdit la responsabilité des plateformes via le contenu publié par les utilisateurs, à moins qu’il n’y ait un manque de conformité avec les décisions du tribunal de supprimer les publications.
Il y a la plupart des sons pour créer de nouveaux grands paramètres techniques. Les ministres ont présenté diverses propositions et la session plénière doit l’équilibrer lors d’une thèse pour la mettre en œuvre au niveau national par le pouvoir judiciaire, qui ne doit se produire que dans la seconde moitié. Le jugement interne est le plus important de l’histoire moderne de la Cour suprême.
La plupart d’entre eux se rendent compte qu’il y avait une « désintégration constitutionnelle » de l’article 19, c’est-à-dire que la norme était suffisante au moment où elle a été approuvée en 2004, mais à l’étape actuelle des réseaux sociaux, il n’est plus suffisant pour protéger les utilisateurs dans l’environnement virtuel dans le contexte de l’escalade de violence numérique, tels que les rapports en ligne, la plaisanterie, les cris et les rédacteurs.
Les principaux points concernés sont la protection des enfants, des adolescents, des minorités sociales et démocrates.
Le sujet était sur le radar des ministres depuis plus de deux ans. Le Congrès devait faire progresser les réseaux sociaux, mais avec une fausse insuffisance, après avoir appuyé sur la technologie majeure, STF a décidé d’agir. Les ministres ont préféré attendre que les élections de 2024 se déplacent dans la question en dehors de la période électorale.
Le pavillon du Parlement et le Sénat accusent la cour de progrès dans les régions de l’organe législatif, mais les ministres ont convenu qu’il n’est plus possible d’attendre que le Congrès bloque l’ordre du jour. La discussion a gagné une force à la Cour suprême après avoir violé les décisions de la Cour par des plateformes étrangères, telles que Telegram et X, qui a assuré la nomination de représentants légaux au Brésil.