Le Maroc est classé 102e dans le monde dans la participation des femmes aux législateurs

Le Maroc est classé 102e dans le monde par 95 députés qui contrôlent 24,3% du nombre total de sièges parlementaires.
Il est entré dans la récente mise à jour des données statistiques de «l’IPU», qui est généralement soumise à une résurrection mensuelle basée sur les résultats des élections d’assemblage périodiques de manière unique.
Sur la base des résultats des élections de septembre 2021, la détermination du Maroc dans le classement ci-dessus, qui a connu une croissance significative du nombre de députés qui n’ont pas dépassé 81 MPS à la dixième assemblée législative (entre 2016 et 2021).
L’arrangement, qui comprend jusqu’à 183 pays du monde, dépend des données fournies par les premières salles parlementaires ou leurs entreprises similaires, et ses membres sont directement élus, de sorte que les pays sont comparés au pourcentage de composants féministes au sein de ces institutions, sur la base du pourcentage d’hommes.
Selon les élections de juillet 2024, Cuba a terminé troisième avec 55,7% et le Nicaragua 55%.
La première origine européenne a enregistré la première origine européenne, car elle est entrée dans le cinquième classement, avec 46% des femmes parlementaires dans le neuvième classement de l’Islande, suivie de Monaco et de la Finlande respectivement en dixième et onze équipes.
Les pays africains ont été classés dans des équipes avancées, dont Cape Verte, l’Afrique du Sud, l’Éthiopie et le Sénégal, la Namibie et le Mozambique, qui ont violé 38% de l’intégration des femmes dans son législature sélectionnée.
Au milieu de l’arrangement susmentionné, d’autres pays européens sont apparus parce que la France a terminé 42e en 208 MPS, suivie de l’Autriche, de l’Albanie, de l’Allemagne et du Luxembourg, puis du Portugal. Quant aux États-Unis, il s’est classé 77e dans le monde et les femmes ont été ajoutées à 28,9%.
Malgré le 102e classement, le Maroc est plus élevé dans le pourcentage de femmes qui sont directement impliquées pour occuper des positions au sein de l’Assemblée législative (représentation parlementaire), car elle continuait d’être la plus élevée du Maroc, en Turquie, en Slovaquie, en Moriténie, en Arajarbaidjan, en Arabie saoudite et en Jordanie (…).
Quant à l’Algérie, il est entré dans les pays du dernier trimestre de la classification, car il est classé 172e, et le taux de coordination des femmes ne dépasse pas 7,9%, ce qui fait contrôler la majorité des zones parlementaires algériennes.
Avant de savoir son début en 1993, il convient de noter que le nombre de femmes au sein du Parlement marocain était normal pour les décennies qui ont suivi l’indépendance du pays. Le représentant du représentant des femmes a profité plus que les gains de la Constitution de 2011, qui a contribué à l’augmentation du nombre de femmes dans la congrégation des gardes lors des trois premières élections de l’Assemblée.