Jammu-et-Cachemire – Le jour du lendemain de l’attaque de Bahalkam contre Gulkam, l’armée entourée d’un terroriste militaire -TRF

Dans le Kulkam et le Jammu-et-Cachemire, un grand commandant a été rattrapé mercredi lors d’une réunion entre les terroristes et les forces de sécurité (TRF). TRF, une branche de Lashkar-e-Taiba du Pakistan.
La rencontre a lieu dans la région de Dangamark du district du Cachemire du Sud. Hier matin, l’armée indienne a infiltré les deux terroristes, les tuant à Baramulla après un lourdeur. Après la réunion, les forces de sécurité ont récupéré un grand nombre d’armes, de munitions et de pièces pakistanaises.
L’attaque meurtrière de ces dernières années
Mardi après-midi, cinq à six terroristes ont ouvert le feu sur les touristes dans la pelouse Pasaron, à environ 5 km de Bahlgam. Cette zone ne peut être réalisée qu’en assise sur la jambe ou sur le cheval. L’attaque de Pahalgam est l’une des attaques civiles les plus meurtrières de la vallée du Cachemire ces dernières années.
Des témoins ont déclaré que les terroristes sont sortis des forêts de cèdre environnantes et ont tiré sur les balles sur des personnes qui avaient mangé ou un magasin de restauration. La plupart des victimes étaient des touristes, dont deux étrangers et deux populaires locaux des EAU et du Népal. Le Premier ministre Narendra Modi a arrêté son voyage en Arabie saoudite et a tenu une réunion du comité du Cabinet (CCS) à Delhi pour examiner la situation de sécurité au Jammu-et-Cachemire.
Action de l’Inde après les attaques
Dans les heures après l’attaque terroriste, le ministre de l’Intérieur de l’Union, Amit Shah, a atteint Srinagar et a tenu un examen de la sécurité de haut niveau avec le lieutenant-gouverneur Manoj Sinha et le directeur de police du Jammu-et-Cachemire. Il a également visité le site de l’attaque à Bahlgham et a rencontré les familles des victimes et des survivants.
Le ministre en chef du Jammu-et-Cachemire, Omar Abdullah, a décrit cette attaque comme « plus grande que toute attaque contre les citoyens ces dernières années ». De nombreux hauts dirigeants ont fortement condamné l’attaque, exprimant leur chagrin et leur unité aux victimes et à leurs familles. Les forces de sécurité ont intensifié leurs opérations de recherche dans la région dans le but de trouver des criminels.