Mauro Cid appelle l’acquittement de la Cour suprême et se réfère aux anciens dirigeants comme la politique des témoins

Le lieutenant-colonel général Mauro Sayed, ancien président des ordonnances de l’ancien président Gere Bolsonaro (PL), a présenté son ancienne défense à la Cour suprême (STF) demandant une brève acquisification dans cette opération qui l’accuse de participer à une tentative de coup d’État en 2022.
CID fait valoir qu’il n’a agi que comme le « orateur » de Polasonaro et que ses actions ont été mises en œuvre dans l’accomplissement de l’emploi. La défense se réfère également à neuf militaires de Shahdah, notamment le général Marco Antelu Freiri Gomez et Julio Cesar de Aroda, qui sont tous deux d’anciens chefs de l’armée.
Vérifiez la liste des témoins:
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Armée générale Marco Antelio Ferrei Gomez – Le commandant de l’armée pendant le gouvernement de Bolsonaro en 2022.
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Général Jilo Cesar de Aroda – Le commandant de l’armée au début de l’administration Lola en 2023.
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Section générale Falfio Varnja.
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La section générale Joao Batista Bisira Lionel Felho.
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Section générale Edson Dihel Ripoli.
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Colonel Fernando Linharris Dryx.
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Capitaine Rafael Mackeel Montero.
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Capitaine Adriano Alfirino.
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Sergent Luis Marcos Dos Reese.
Si la demande de brevet n’est pas acceptée, les avocats doivent avoir un accès complet aux preuves, y compris les données extraites du téléphone mobile ICD. Ce processus fait partie de la première étape de la procédure pénale qui comprend également Bolsonaro et six autres accusés, accusés de rejoindre le noyau central de l’organisation présumée.
Parmi les principaux points de défense, CID n’a pas participé à la création de contenu pour encourager les manifestations et n’avait aucune initiative pour organiser des actions non démocratiques. Cependant, le PGR indique que l’armée aurait encouragé les manifestations devant le siège de l’armée en Brésilia avant la conquête des trois pouvoirs le 8 janvier 2023.
La défense confirme que les accusations sont basées sur des hypothèses dérivées des messages qui ont été échangés dans les groupes WhatsApp. Le document dit: « Leurs activités étaient liées à un stricte accomplissement de l’obligation, et non à leur volonté d’intégrer l’organisation criminelle. »
Grâce à l’accord de culpabilité primé avec la police fédérale, CID est le premier défendeur à fournir une défense. D’autres ont jusqu’à cinq jours pour envoyer leurs sites à la Cour suprême.
* (Iry Costa, formée sous la supervision d’Emillly Melo, correspondante au Politics and Economics Center)