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Le leader par intérim syrien visite Paris lors de son premier voyage officiel en Europe

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Le chef par intérim de la Syrie, Ahmad al-Sharah, visitera Paris mercredi pour son premier voyage en Europe et pour ouvrir son premier voyage en Europe et ouvrir de vastes relations avec les pays occidentaux.

Al-Shara a dirigé son groupe islamique, Hayat Tahrir al-Sham (HTS), dirigé par une attaque de foudre, qui a jeté l’ancien président Bashar al-Azad en décembre.

Al-Azad, membre de la minorité syrienne à haute voix, a statué pendant plus de deux décennies et s’est enfui en Russie après avoir été jeté.

Selon le palais Elisha, Macron réitèrera le soutien de la France à une Syrie libre, stable et souverain qui souligne l’importance de la stabilité régionale et de la lutte contre le terrorisme.

La visite a lieu au milieu d’un nouveau bain de sang de courte durée, une semaine après les affrontements entre les combattants de la Troza Al-Shahra et minoritaire, ce qui a causé la mort de près de 100 personnes.

Après la violence précédente entre les tireurs sunnites et les membres de la division minoritaire, ces affrontements ont été rejoints par Al-Azad. La guerre a causé la mort de plus de 1 000 personnes, et beaucoup d’entre elles ont été tuées dans les civils d’Alawatas tués dans des attaques de vengeance.

Les minorités religieuses en Syrie, y compris les Alawatas, les chrétiens et les trusos, ont peur que le gouvernement musulman sunnite soit harcelé. Al-Shara a assuré à plusieurs reprises que tous les Syriens seront traités également, quelle que soit leur religion ou leur appartenance ethnique.

La guerre civile de 14 ans a tué près d’un demi-million de personnes et a déménagé des millions. L’infrastructure syrienne est en ruine et est un obstacle majeur pour la reconstruction des obstacles internationaux.

Visite à Paris comme test européen potentiel pour s’engager avec la nouvelle direction de la Syrie.

L’administration Trump n’a pas encore correctement reconnu le nouveau gouvernement syrien dirigé par l’al-Shahra, et HDS est une organisation terroriste nommée par les États-Unis.

Les sanctions imposées à Damas pendant le régime d’Assad sont en vigueur. Cependant, en janvier, Washington a publié certaines restrictions, et lorsque le Trésor a délivré une licence publique, elle a été valable pendant six mois, reconnaissant certaines transactions avec le gouvernement syrien, y compris certaines ventes d’énergie et transferts accidentels.

L’Union européenne, qui a suspendu les secteurs du pétrole, du gaz et de l’électricité en Syrie, a suspendu les restrictions de transport et de banque.

Fin avril, le gouvernement britannique a annoncé les sanctions contre une douzaine de sociétés syriennes, notamment les départements de l’État et les médias d’État.

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