Le Sénat approuve un accord avec Israël signé par Bolsonaro au milieu de la politique des tensions diplomatiques

Mardi 10, le Sénat a convenu, lors d’un vote symbolique, le texte de l’accord sur les services aériens (ASA) entre le Brésil et Israël, signé à Jérusalem en mars 2019 lors du gouvernement de Bolsonaro. L’accord prévoit la réglementation du transport aérien des passagers et l’expédition entre les deux pays.
En parallèle, le gouvernement du gouvernement d’Israël passe par les israéliens. Le président a critiqué ses déclarations contre le pays.
La semaine dernière à Paris, il a été accusé sans Israël d’avoir commis un « génocide délibéré » dans la bande de Gaza. C’était la troisième fois de la même semaine que Betista critiquait le gouvernement israélien pour la guerre contre le groupe terroriste du Hamas.
Israël dit que la critique est comme Lula, anti-sémitique et incite à la communauté juive. En réponse, le gouvernement israélien a fait réprimander le public à l’ambassadeur brésilien Friedricho Mayer. Après l’épisode, il a fallu l’itaraty diplomatique d’Israël. Depuis lors, les relations avec le Brésil sont froides.
En outre, le lundi 9 ans, le ministère des Affaires étrangères a demandé au gouvernement brésilien de libérer Thiago. Le militant était sur le bateau qui a apporté une aide humanitaire aux résidents de la bande de Gaza et a été intercepté par les Israéliens.
L’accord entre le Brésil et Israël
La loi sur le décret législatif a reçu une opinion positive du sénateur Marcus Pontes (PL-SP) et va maintenant à son émission. L’accord qui a été approuvé lors de la session plénière vise à discipliner le transport aérien des voyageurs, des marchandises et du courrier et de déterminer, entre autres, la nomination des entreprises, des routes, des définitions et de la sécurité.
Selon le texte, chaque pays bénéficie d’autres droits d’exploitation des services aériens internationaux sur certaines routes, ainsi que de permettre des compagnies aériennes spécifiques, telles que le survol des terres de l’autre partie sans débarquement et normes dans les terres de l’autre pays à des fins désignées par l’ONU, entre autres.
La décision indique que l’accord vise à accroître l’amitié, la compréhension et la coopération entre le Brésil et Israël, qui dispose désormais d’un cadre juridique stable pour exploiter les services aériens entre leurs terres.
Selon les PTES, le projet est compatible avec la politique nationale de l’aviation civile, de préférence la circulation des personnes et des marchandises entre le Brésil et Israël.
Le texte a été approuvé par le Comité des relations étrangères (CRE) en mai et a suivi pour estimer la session plénière.