Deux solutions d’État « menacées plus que jamais »

Mardi, une source diplomatique française a admis que les deux solutions d’État visant à mettre fin au conflit entre l’État hébreu et les Palestiniens étaient « menacés plus que jamais », et d’autre part, on pensait que l’émergence d’une « normalisation pleinement et complète » entre Israël et les pays arabes lors de la conférence de New York.
« Les événements en cours nous montrent que cette solution n’est pas nécessaire plus qu’aujourd’hui. »
Entre le 17 et le 20 juin, la France et l’Arabie saoudite tiendront une conférence internationale à New York sur la question palestinienne.
La source diplomatique française a expliqué que cette conférence sera dans le contexte des événements « très inquiétants » à Gaza, où Israël poursuit ses grandes opérations militaires à l’échelle, pendant plus de deux mois et demi, pendant plus de deux mois et demi, le secteur piégé est interdit de l’aide humanitaire.
Depuis la semaine dernière, Israël a accordé une quantité limitée d’aide humanitaire sur la voie.
Source, « Agence de presse française », « Dans ce contexte, la solution des deux États en France a été menacée plus que jamais », a-t-il déclaré.
Les deux solutions d’État « La démolition à Gaza et certains dirigeants israéliens montrent clairement un désir de reconsidérer ce secteur et au moins d’expulser un morceau d’habitants (les événements ne sont jamais plus nécessaires. »
La source a poursuivi: « Nous sommes conscients des obstacles et de tout ce qui empêche cette solution au cours des trente dernières années. »
Lors de deux réunions parallèles à Paris et à New York Days, l’Arabie saoudite et la France, l’accélération des préparatifs pour les deux conférences de solutions d’État qui devraient être organisées par les Nations Unies entre le 17 et le 20 juin.
Le ministre des Affaires étrangères, Jean -Noel Baru à Paris, s’est rencontré de l’Arabie saoudite, de l’Égypte et du Royaume de Jordanie (prince Faisal bin Farhan, Badr Abdel -Ati et Ayman Al -Safadi) pour une session d’étude dédiée à la préparation de la conférence. Cela s’est accompagné d’une réunion dirigée par les Français-Saudi au siège des Nations Unies à New York, et au début de la délégation saoudienne, Manal Radwan a appelé à participer à des efforts pour établir un « État palestinien » au lieu d’une exigence stratégique, et non comme un geste symbolique.
Les deux réunions ont déclaré que les préparatifs avaient été initiés à une vitesse intense pour la conférence et que le parti parrainant voulait obtenir une véritable percée devant la solution politique.