La justice militaire condamne le câble qui décrivait le lieutenant « Bandda » et s’il s’arrête à STM | politique

La justice militaire a décidé que le câble de l’Air Force est encore à au moins 300 mètres d’un lieutenant contre ceux qui ont commis un harcèlement successif dans un environnement de travail. Dans l’un des épisodes, il s’appelait « Bunduda » lors d’une attaque romantique, dans laquelle il a suggéré qu’ils avaient un fils ensemble. L’officier avait déjà rejeté les témoins des opportunités précédentes et se souvenait qu’elle était l’épouse d’un autre militaire.
Le défendeur a repris cette décision, émise par le Conseil permanent pour la justice dans Campo Grande Aviation (MS), et l’affaire sera désormais réévaluée par la Cour militaire suprême (STM), l’exemple le plus élevé d’une enquête sur les membres des forces armées. Même la décision initiale a imposé une peine d’une peine de prison, mais elle a été transférée sous condition pendant une période de trois ans, au cours de laquelle il devra se présenter tous les trois mois au tribunal.
Les juges ont considéré qu’il y avait du mépris, car il a un rang inférieur dans la hiérarchie militaire. La peine décrit en termes de temps, sur la base des rapports de la victime et des témoins, la date du mauvais chant et les demandes répétées pour arrêter les commentaires.
Il a commencé en mars 2024, lors d’une activité qui a été promue au moment de la semaine des femmes, en partenariat avec l’hôpital Do Amor. Il a été nommé conducteur et le câble a fait plusieurs commentaires inappropriés adressés au lieutenant, qui a accompagné les activités. Elle l’a décrit comme « beau » et « le lieutenant le plus amical », même après avoir revendiqué l’embarras de la situation et lui demande de s’arrêter.
Après deux mois, le lieutenant a dû transférer les vaccins et contacté le câble, qui a travaillé dans le garage de la caserne, pour demander un conducteur. Il s’est porté volontaire pour cette tâche, en cours de route, a rendu le «souvenir (a) manque de respect», a immédiatement refusé. Et il a dit après son rejet: « Oh, lieutenant, quelle compassion pour votre cœur est en effet un propriétaire. »
Le service public militaire a déposé une plainte en septembre de la même année et a accusé le câble du crime d’outrage au supérieur.
La défense a revendiqué l’absence de tromperie, affirmant que les commentaires seraient « des compliments sans mal ». La demande d’innocence ou, dans la direction, a été l’insécurité du crime d’annuler le respect du supérieur, avec l’application d’une punition alternative.
Cependant, le Conseil permanent de la justice a compris que le comportement de l’accusé représente l’autorité de l’officiel et la dignité personnelle de l’armée, tout en réalisant la formation du crime de mépris pour le supérieur.