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18 projets arabes sur les « plates-formes de films Amman » pour soutenir le millier …

Dans le contexte de son engagement à soutenir les voix cinématographiques émergentes et à promouvoir la scène narrative dans la région arabe, le Festival international du film d’Amman – le premier film, grâce à sa section professionnelle « AFID Film Fabrins (AFID) », a annoncé la sélection de 18 projets cinématographiques entre 2 et 10 juillet 2025.

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Ces plateformes constituent un espace professionnel unique pour que les réalisateurs et les producteurs arabes affichent leurs projets en cours de développement ou au stade de la production post-production devant un comité spécialisé de décideurs et d’experts, et de concourir pour des prix financiers et en leur genre présentés par AFID Partners et AFID.

Jury international et options délibérées

Le jury de cette année comprend un groupe de noms influençant l’industrie cinématographique, et ils sont la productrice tunisienne, Dora Bouchoucha, le réalisateur burundien Joseph Beetamba, le critique cinématographique et programmeur espagnol Eduardo Gyriot, le producteur jordanien Linda Mutawa, et le directeur saoudien Abdulaziz al -Halahi.
Dix-huit projets sur 170 demandes ont été choisis après une invitation ouverte à participer.

Ces options se sont présentées sur l’évaluation d’un comité spécialisé, en tenant compte de la vision technique du projet, de l’unicité de l’idée et de la capacité de mettre en œuvre et de production. Dans ce contexte, Bassam Al -asaad, directeur des fabricants de films Amman, a déclaré: «Il était difficile de limiter les projets choisis cette année en raison de la haute qualité caractérisée par les demandes. Ces projets expriment des récits audacieux et urgents, et ils méritent d’être entendus et de donner l’occasion.

Projets en cours de développement – le premier film (pour les réalisateurs jordaniens ou les résidents en Jordanie)

Parmi les projets sélectionnés, il y a quatre œuvres de réalisateurs jordaniens ou résidents en Jordanie, mettant en évidence les problèmes locaux et arabes sous différents angles narratifs.

Le projet « Camp », dirigé et produit par Abu Taima Bayan, traite d’une expérience vivante dans l’un des camps. Quant aux « notes de Jérusalem » du réalisateur un peu al -kurdi, en partenariat avec Brian Hill, il réelait la mémoire et l’identité. Tamer Al -Naber met en « six pour un » une nouvelle vision dramatique avec le soutien du producteur Ghassan Salti. Le « Field Orange » par son directeur Murad Abu Aisha, avec la participation de la production jordanienne -canadienne, passe en revue la double affiliation et l’exil.

Projets en cours de développement – projets arabes

Une variété de projets arabes qui reflètent la diversité des environnements et des approches narratifs, tels que « Harami al -baqara » par le réalisateur égyptien Mohamed Zidan, qui rassemble l’Égypte, l’Italie et l’Arabie saoudite, et est présentée par le producteur Mark Lutfi. Quant à « la vie de Happy Pig, je ne suis pas content! » Pour la libanaise Christie Wahby, il mélange le réalisme et le symbolisme dans son expression du trouble psychologique, avec le soutien de Christtiel Younis.

« Ping Bong » de Palestinien Saleh Saadi, produit par Mai Jabareen, surveille la dynamique sociale forte de la famille. Quant au « Spring of Al -omar » de Nouil Keserwani, production conjointe avec Michelle Keserwani, il est responsable du vieillissement sous une perspective différente.

De la Syrie, Anas est derrière son projet multinational, « Laf Forte Five », produit par Marine Viente, tandis que Algerian Lina Swailem présente dans « Alyante » le sujet de l’aliénation et de l’identité.

Amal Ramsès revoit dans « Zay Tair in Sama » sa vision poétique de la liberté, en partenariat avec Jana Wahba. Quant aux « Masters de la beauté et magiques » de Jad Shaheen égyptien, il a des préjugés dans la légende et la réalité, produits par Bahw Bakhsh et Wasfi al -Din Mahmoud.

Projets post-production – Projets arabes

Dans cette catégorie, le projet « Cobra » du directeur libanais Daniel Habib, et la production de Sarah Saab, apparaît comme l’une des œuvres attendues. Khaled Suwaidan, dans « Amal », en partenariat avec Rahma Al -Shammas, met en lumière les répercussions de la guerre en Syrie d’un point de vue humain.

« Nous ne mourons pas deux fois » entre l’Algérie, la Tunisie, la France et l’Allemagne, dirigée par Hajar al -wasilati et la production de Raouf al -wasilati, Thomas Cascé et Zia Jabri.

Du Maroc, le film « Testostérone » est livré avec une direction conjointe et une production entre Ali Benchrogon et Mohamed Bakrim, en révisant les problèmes de genre.

Le réalisateur Majid Nader revient dans « Tout ce que le vent peut porter », avec le soutien de Tamer Al -Saeed, pour souligner la fragilité sociétale en Égypte. « Asphalt » du réalisateur jordanien Hamza Hamida, produit par Mahmoud Al -masad, complète cette collection avec une vision visuelle qui reflète les transformations de l’environnement urbain.

Un programme professionnel intégré et une nouvelle extension dans la narration visuelle

Dans le cadre de son effort continu pour développer les capacités des cinéastes arabes, Progress Amman Film Manufacturers Days Un riche ensemble d’ateliers de formation, des séminaires spécialisés et des séances de discussion ouvertes. Ces activités visent à améliorer les échanges professionnels et de connaissances, permettent aux participants d’acquérir des outils pratiques et d’interagir avec les derniers développements de la scène cinématographique arabe et internationale.

Cette année, le début de l’initiative « Spark Series », en tant que première série arabe à mettre en évidence la série Web comme un nouvel espace narratif innovant. Cette étape cherche à ouvrir des horizons pour que les fabricants de contenu expérimentent des outils expressifs numériques et à atteindre un public plus large dans une scène accélérée.

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