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« Travail XXI »: une réforme des tâches qui ne sert pas la Constitution | Expression

Proposition Réforme du travail Cela ne répond pas aux défis de la tension actuelle: le dernier pouvoir de contrat de l’employeur, évalue la négociation conjointe et affaiblit la sécurité de l’obligation de travail. Au lieu d’approfondir le «programme de travail qualifié», il soulève des démons oubliés. Cela ne devrait pas être un chemin uniforme de la main-d’œuvre, raisonnable et moderne.

La loi sur le travail constitutionnel de la République portugaise crée l’instrument de justice sociale, protégeant la zone faible et améliorant la synchronisation. En fait, l’article 53 interdit ouvertement le licenciement sans raison raisonnable, et la loi constitutionnelle a été donnée à l’embauche collective du Ravam informatique humain et de la 56e dimension. Ces commandes ne sont pas des directives politiques simples: ce sont les règles du législateur ordinaire.

Projet de réforme fourni dans le sujet »XXI TravailPar conséquent, cela nécessite une lecture critique.

Le projet interfère dans les domaines centraux des relations de travail, des heures de travail, des parents, de l’action collective et de la protection judiciaire dans son monde mondial, en ce sens que la constitution du modèle de travail portugais compromet.

Premièrement, l’opération est autorisée à extériorer dans les 12 mois suivant le licenciement conjoint. Dans la pratique, dans la pratique, il se traduit indirectement les travailleurs avec des tiers sociétés, a plus d’obligations cassantes et une faible protection. L’efficacité du travail est affaibli et vide le contenu matériel de la barrière sur le licenciement spontané.

Ce programme approfondit également la logique d’un contrat dangereux, élargit le terme embauche et prolongé sa durée. Au lieu de lutter contre les revenus, une caution instable est la forme dominante d’insertion professionnelle, en particulier pour les jeunes et les chômeurs. Cette section est contraire au principe de l’égalité et des compromis la synchronisation sociale – l’axe du processus constitutionnel de l’œuvre.

Dans les heures de travail, les outils de flexibilité personnelle sont renforcés, comme la banque horaire et l’adaptation, loin de la médiation de négociation conjointe. La liberté de contrat est souvent imposée unilatéralement dans la dépendance économique. La sécurité du temps – repos, famille, santé et citoyenneté – réduite pour la commodité de l’employeur.

Ce projet interfère avec les piliers centraux de l’opération conjointe dans le monde du travail. D’une part, le concept de services minimaux obligatoires a été étendu aux nouveaux secteurs non essentiels des Portugais. Cette prolongation comprend une formation efficace de compromis du droit à la grève, qui comprend des besoins sociaux imprévisibles (art. 57 CRP), réduisant ses performances pratiques et vidant son contenu constitutionnel.

D’un autre côté, les méthodes d’affaiblissement de l’embauche conjointe, telles que la facilitation de l’expiration des conférences et de l’arbitrage obligatoire dans les circonscriptions commerciales. Ces mesures affaiblissent la stabilité du contrat et compromettent le principe de la continuité éthique et modifient le sens de la protection conjointe mentionnée à l’article 56 de la Constitution.

De plus, il y a une retraite dans le rôle des structures syndicales. Personnalisation de l’équipement réglementaire, un temps ou des méthodes de contrat en réduisant l’espace utile des systèmes de contrat, qui ne font que des pièces. La dévaluation se heurte au modèle démocratique de la reconnaissance constitutionnelle de l’ordre du travail.

Dans le domaine des parentsLa proposition ne progresse pas. Au contraire, la licence du deuil de grossesse est éliminée et l’allaitement maternel pour l’allaitement est faible et les demandes bureaucratiques sont renforcées. Ces changements ignorent la faiblesse de certaines réalités familiales et contredisent les 67 et 68 articles de la Constitution, ce qui impose un devoir renforcé de protéger la maternité et l’enfance.

Au niveau judiciaire, les obstacles se poursuivent et la performance du droit à la sécurité pire. La nécessité de sécurité est maintenue pour contester le licenciement conjoint avec la demande de rééducation, imposant un fardeau financier à ceux qui ont déjà perdu leurs revenus. Il s’agit d’une gamme stricte d’accès à la justice (art. 20 CRP), et sa correction est obligatoire.

Même après que le pouvoir judiciaire a déclaré le licenciement illégal illégal, il est encore plus grave d’introduire la possibilité juridique de l’opposition de l’employeur à la restructuration. Cette solution n’est pas dans le régime actuel et fait référence à la violation de l’article 53 de la Constitution.

Le projet institue le fait que la loi fondamentale est ouvertement interdite en permettant à l’employeur de modifier le licenciement sans raison raisonnable à la simple question de rémunération.

Le droit du travail n’est pas un obstacle à la croissance économique – c’est l’une de ses garanties d’organisation. La Constitution n’exclut pas les réformes du travail, mais impose qu’ils seront honorés de la politique de sécurité, de la synchronisation proportionnelle et sociale. La réforme n’indique pas la déception.

La proposition « Work XXI » échoue à cet objectif, comme on trouve. Le Portugal a besoin d’une réforme du travail, mais d’une réforme qui renforce les droits sociaux, évalue la négociation et respecte la Constitution. Au nom de la flexibilité, ce n’est pas un discours qui ouvre la voie à l’érosion des principes fondamentaux du droit du travail.

L’auteur écrit selon le nouvel accord d’orthographe

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