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La France promet d’évacuer les diplomates algériens dans une nouvelle représailles

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Dimanche, la France a promis d’expulser un nombre indéfini de diplomates algériens mercredi, en réponse à la conclusion d’Alger que 15 employés français devraient revenir.

L’Algérie a expulsé 12 employés français à mi-avril, ce qui a conduit à l’évacuation de 12 diplomates et du personnel de l’ambassade et a rappelé son messager à son ambassadeur.

Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Nol Barrat BFM TV, a déclaré à TV que de nombreux employés algériens, détenteurs de passeports diplomatiques, mais ceux qui n’ont pas les bons visas pour travailler en France seront renvoyés dans son pays.

Interrogé sur le nombre d’employés prévoyant d’expulser la France, Barrot a déclaré: « Ce n’est pas une question de chiffres. C’est un problème de qualité (…). L’Algérie voulait envoyer nos agents. Nous les envoyons. »

Mardi, l’ambassade de France en Algérie a convoqué l’ambassade de France et a annoncé que les employés devaient quitter le pays – deux jours après l’ambassade de France en Algérie, l’ambassade de France a été annoncée à Alger, avec 15 fonctionnaires travaillant lors de voyages temporaires.

Le ministère des Affaires étrangères n’a pas encore publié de déclaration officielle sur sa décision, mais le rapport de l’agence de presse algérienne (ABS) a déclaré que les responsables français qui avaient été évacués avaient été nommés dans des «conditions irrégulières».

Le ministère français des Affaires étrangères a répondu dans un communiqué accusant l’Algérie de violer l’accord bilatéral entre les deux pays et d’établir de nouvelles conditions pour accéder au territoire algérien pour les fonctionnaires français qui détiennent des passeports officiels, diplomatiques ou de service.

Dans une interview avec PFM TV, Barrot a déclaré que la décision de l’Algérie était « incompréhensible et cruelle » et que la réaction de la France était « instantanée, ferme et proportionnelle ».

Barrot a déclaré qu’il n’avait pas exclu l’opportunité d’accepter « d’autres activités » en fonction de l’évolution de la situation.

Des parents mortels après la fenêtre de confiance

La différence diplomatique entre la France et l’Algérie s’est intensifiée cette année et a été déclenchée par de nombreuses questions, notamment le refus de lire les citoyens qui ont été contraints d’abandonner la France en raison de la menace du crime ou de l’ordre public, ainsi que de l’écrivain de désaccord Franco-Argline Poum Sanchell.

Cependant, la controverse a commencé l’année dernière et, en juillet, la France a annoncé qu’elle soutiendrait la réclamation à long terme du Maroc dans le territoire controversé de West Sarah.

Cette décision a été furieuse par le gouvernement algérien, qui a soutenu l’auto-détermination du peuple local du Sarawe, et a conduit son ambassadeur à l’Alger Paris.

Bien que le président français Emmanuel Macron et son représentant algérien Abdelmadjit Debown aient annoncé qu’ils partageaient une conversation téléphonique confiante sur le statut des relations bilatérales début avril, leur tentative d’élimination des tensions semble courte.

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