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Le ministre français de la culture et Carlos Ghosn dirigeant les accusations de corruption au procès
Aujourd’hui, l’enquête juge à Paris, selon l’agence de presse française, le ministre de la Culture française, l’ancien président du groupe Rachida Dati et Renault-Nissan, Carlos Ghosn’u pour l’exploitation de la corruption et de l’influence dirigées vers le procès.
Dati et Ghosn, qui détiennent les nationalités libanaises, françaises et brésiliennes, refusent les accusations contre eux dans l’enquête à Paris en 2019.
Wadati (59 ans) est l’une des personnalités éminentes du gouvernement de François Bayro et un éventuel candidat pour la capitale de la capitale. Selon une source familière avec le dossier, l’audience peut commencer après les élections municipales prévues pour se tenir en mars 2026.
La date du procès devrait être déterminée lors de la première audience le 29 septembre.
En novembre 2024 accusations, le Département national des finances a exigé que le ministre de la Culture soit jugé sur l’exploitation de l’impact négatif d’une personne ayant un poste électoral général au Parlement européen, une organisation internationale.
Le ministre de la Justice, l’ancien président Nicolas Sarkozy, « entièrement la vie privée, mais en l’absence de transparence » selon l’enquête, le montant de 900 000 euros pour les services de conseil, sur la base d’un accord signé avec Reno, sur la base d’un accord signé en tant que succursale.
Dati était alors avocat et membre du Parlement européen (2009-2019). On soupçonne que l’accord avec la société est un rideau de l’activité d’oppression qui est interdit par les députés au Parlement européen.
En juin, les rapports de presse français ont accusé le groupe suisse du GDF de recevoir 299 000 euros du groupe suisse du GDF au Parlement européen pendant la mission parlementaire.
GHOSN (71 ans) réside actuellement au Liban et une arrestation internationale a été ordonnée dans le dossier qui lui a été remis en avril 2023. L’influence d’un président de l’entreprise sera jugée pour abus de confiance et utilisation de la corruption.
L’ancien président de « Renault » a été arrêté au Japon fin 2018 et a dû être jugé pour une fraude financière. Fin 2019, il s’est enfui au Liban.