Le Canada peut-il même devenir l’État membre de l’UE? | Mégaphone

La tension politique entre les États-Unis et le Canada, qui a augmenté pendant la période présidentielle de Donald Trump, a fait réfléchir de nouvelles alliances. Parmi ceux-ci, l’hypothèse est apparue pour rejoindre le petit potentiel, UE. En fait.
Cependant, la proximité culturelle de l’adhésion ne suffit pas. L’article 40 de l’accord de l’UE déclare que les «pays européens» peuvent être appliqués sans définition de ce que «européen» signifie «européen». En 1992, la Commission européenne a noté des critères géographiques, historiques et culturels pour évaluer le raisonnement de la pâte. Bien que le Canada puisse revendiquer les relations historiques et les valeurs voisines, son emplacement en Amérique du Nord est presque ininterrompu. Même les exemples de Chypre en Asie occidentale, ou quelque peu des Européens, ne sont pas entièrement comparés au territoire en dehors des frontières continentales.
Les contrats pour un gouvernement américain nécessiteront un examen plus approfondi, exigeant un consensus parmi tous les États membres, dans une situation marquée par des défis internes et qui ne crains pas que les pays étrangers soient ouverts aux pays étrangers. De plus, la propre identité de l’UE créée pour intégrer les pays européens sera remise en question. En 1987, le Maroc a refusé sa nomination, malgré la sympathie du Canada, la définition de «l’Europe», qui se concentre sur l’espace géographique traditionnel.
Le Canada et l’Europe développent déjà un solide fédéral, qui illustre par l’accord économique et commercial mondial, qui a resserré les liens commerciaux et a apporté des politiques de près. Il combine également les droits de l’homme, la stabilité environnementale et la gouvernance mondiale. En ce sens, le renforcement de la coopération ne nécessite pas de coordination politique complète et peut être réalisé grâce à des contrats spécifiques et des conversations stratégiques. Pour de nombreux Canadiens, une telle proximité reflète le désir de réduire notre dépendance, en particulier la tension. Cependant, ils sont intégrés dans l’UE, ce qui traduit un objectif plus symbolique qu’un moyen pratique.
Ainsi, à mon avis, c’est une situation impossible que le concept du Canada devienne un membre de l’UE. L’Union européenne était considérée comme un projet régional et, au bon moment, il reconnaît une certaine flexibilité. Le remplacement de l’Atlantique dépasse ces limites et l’adhésion canadienne nécessitera une grave rachat du sens du « gouvernement européen ». Ce ne sont pas seulement des valeurs communes, mais aussi des structures juridiques et politiques qui ne voient pas le soutien de la conformité actuelle.
Par conséquent, le Canada sera un partenaire de référence, si nécessaire, renforcera ses contacts commerciaux, diplomatiques et culturels avec l’Europe, mais sans violer le blocus imposé aux contrats. En fin de compte, l’idée de passager agit comme une manifestation de contact avec le visage de la direction américaine plutôt que comme un objectif réaliste. L’Europe, après tout, se protège comme une partie intégrante de son propre continent, et le Canada, comme les relations qu’il exprime, est un pays en dehors de ces frontières.
Cependant, l’approche entre le Canada et l’Europe peut se développer sans déformer la structure juridique. L’amélioration des échanges éducatifs, de la coopération scientifique ou de la gestion partagée des flux d’immigrants explique les domaines qui se traduisent en avantages mutuels.
En outre, le concert des postes dans les forums tels que les Nations Unies ou le G7 coordonne la notion que le Canada et l’Europe partagent la vision mondiale de l’ouverture et du respect des valeurs démocratiques. Par conséquent, il n’y a aucune urgence à redéfinir l’Europeisme pour accueillir un allié de l’Atlantique. Bien que la bonne adhérence du Canada ne soit pas observée, la coopération radicale soutient les objectifs communs, en maintenant deux marges de l’Atlantique. Cette liaison solide peut agir comme un modèle pour d’autres régions, prouve que la proximité politique et culturelle n’est pas requise, mais comme un dévouement mutuel à la stabilité et au progrès.