Divertissement

Qui est l’ancien commandant de l’Air Force qui entendra par STF à propos de la politique de tentative de coup d’État

Mercredi 21, la Cour fédérale suprême (STF) a entendu Carlos Almeida Babetsta Junior, qui a dirigé l’Air Force pendant le gouvernement de Jir Bolsonaro (PL).

Le lieutenant Brigadeiro est l’un des témoins de l’accusation dans le processus dans lequel Bolsonaro est accusé d’avoir tenté le coup d’État. Jusqu’à présent, la Cour suprême a fait 31 personnes, dont l’ancien président. Babititista Junior a dirigé l’armée de l’air brésilienne d’avril 2021 à décembre 2023. Il a pris la position de la crise institutionnelle dans les ordres militaires.

Au cours des enquêtes, le lieutenant Brigadiro a confirmé à la police fédérale (PF) que le président de l’époque a donné aux chefs militaires les contours d’un décret pour imposer un pays exceptionnel dans le pays.

Il a 64 ans, le fils de Carlos de Almeida Babetsta, Litanant Brigadiro, qui a dirigé l’Air Force entre 1999 et 2003. L’officier de réserve a rejoint l’Air Force brésilienne (FAB) en 1975 à Air Cadet Preparatory School (EPSCAR). Même la conduite de la force a pris quatre mille heures de voyage, avec une spécialisation dans les actions de pêche et de chasse.

Babetsta Junior a combattu en avril 2021, après une crise de démission du ministre de la Défense, Fernando Azifido. Le départ du ministre a provoqué la défense du fonctionnaire en charge des trois pouvoirs. C’était la seule fois depuis l’effusion de sang que les trois chefs militaires ont quitté leurs positions en même temps, sans changer la direction dans le gouvernement fédéral.

À la police fédérale, Babetsta Junior a déclaré qu’il avait averti Bolsonaro qu’il n’y avait aucune preuve de fraude aux élections de 2022. L’ancien commandant a déclaré qu’il avait été présenté pour des raisons juridiques pour un jour férié institutionnel, un document saisi par PF, connu sous le nom de « projet de coup d’État ».

Le décret a été présenté, selon Papitist Junior, par Gear Bolsonaro puis le ministre de la Défense, Paulo Sergio Nagira. Selon le témoignage du lieutenant Brigadiro, lors de l’une de ces réunions, Frairi Gomez Bolsonaro a déclaré aux outils juridiques susmentionnés contre le système démocratique, il devra être arrêté.

Le lundi 19, à la Cour suprême, Frairi Gomez a nié que Polsonaro menaçait de prendre de la prison s’il tentait un coup.

Mardi, la Cour suprême a conclu le mardi 20, la décision sur la réception des plaintes du bureau du procureur (PGR). Sur les 34 de PGR, 31 des défendeurs sont devenus.

Le procès de l’affaire au stade de la liste des témoins de poursuite et de la défense. 81 personnes seront entendues, y compris les dirigeants de Sao Paulo, Tarisio de Fretas (républicains), la région fédérale, Ebanis Rocha (MDB), membre du Sénat, députés, militaires et anciens membres du gouvernement de Bolsonaro.

Source link

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page