1990, magazines en papier, téléphones principaux, vinyle, boloïdes, empreintes digitales Après les heures Bakers, tresse, cahiers papier, réunions sans accès Internet. La dernière chose que nous comprenons est revenue. Nostalgie pure.
Sur les réseaux sociaux numériques, il n’y a pas de pénurie de vidéos de rencontres au téléphone, ou du bon vieux temps de disque et de conversations. D’autres nous rappellent les chansons qui nous ont dansées ou nous montrent comment vivre sans Internet. Les chansons les plus lues du son dictoc que nous avons entendu à la radio.
La tendance va plus loin, la mode et nous nous étendons pour s’habiller, rappelle les années 2000 et ramener le style des années 1990, qui est la culture opposée dans une sorte de cycle, car il y a beaucoup de gens qui ne peuvent plus gérer cette accélération, des annonces et des applications du monde, de la parole ou de la déconnexion. Certaines personnes abandonnent, ignorent ce qui se passe dans les réseaux, et dans une sorte de libération qui nous tient, et d’autres leur permettent de vivre et de vivre à travers ces réseaux.
Le changement est lentement traduit par une transition sociale et culturelle, qui cherche une expérience très actuelle et réelle, plus émotionnelle et ferme, qui prend du temps et ne ramollit pas immédiatement les sites numériques.
Ces dernières années, il a toujours été temps de lire et d’attendre la prochaine version, avec le nouveau contenu, en production incessante, avec l’excès et la vitesse du présent. Maintenant, nous accumulons Podcasts Nous rejoignons, ne pouvons pas entendre, les chaînes YouTube et Bobine Sur Instagram, lorsque le doigt glisse pour regarder des vidéos qui ne se sont jamais terminées sur le tok.
Lorsque cela (presque) analogues revient aux analogues, nous voyons un endroit qui permet aux réseaux sociaux numériques de nous forcer à respirer à nouveau, de le retrouver et de vivre sans montrer que nous le faisons. Dans le style, il y a aussi un changement. Les symptômes sont déjà observés, dans le cadre des tendances mondiales, sociales et culturelles, sont confrontées à la récession économique, car la fatigue globale du consommateur et le manque de créateurs glissent. Rien n’est perdu, tout est changé en fatigue créative et une copie de la copie?
Cependant Mode rapide Continuez les magasins avec des vêtements, la qualité est de plus en plus suspecte et les bords diminuent. Les marques bien connues essaient de réinventer, mais de diminuer, le changement par d’autres, bon marché ou l’attrait.
Ils se renouvellent sans marques de luxe, cependant, créent une meilleure invention car ils restaurent le meilleur qu’ils ont fait. Ils ajoutent un détail, utilisent une couche, profitent d’une célébrité, et encore à Ribalta, ce temps est presque détruit des pièces. Ils font des associations de coopération et d’utilisation pour atteindre de nouveaux publics, et ils vendent de la nostalgie pour ceux qui connaissent déjà la marque.
UN Mode rapide. Torsion.
Ce que nous trouvons, c’est de retourner à la cachette de nos mères, que la relaxation traditionnelle semble réelle, mais seulement sur une façade. Contrairement aux pièces que nous voyons dans les boîtes de famille, ce sont des vêtements jetables, de qualité, mais ils sont rapidement jetés, porpodo ou décolorés.
Coopération entre les marques Mode rapide.
Le monde est différent, nous sommes confus, le choix de nouveaux vêtements vous en dit long sur l’état du monde. Les photographies ne se renouvellent pas, ils marchent en arrière, tandis que le monde avance. Il n’y a pas de larme ou de meilleure invention, mais plutôt une attitude qui cherche un réconfort que le monde n’a pas. Si le langage de la mode, l’expression et le signe, nous perdons tous entre ce que nous voulons faire, et que la mode, si je le peux, revient au préjudice du numérique.
L’auteur écrit en vertu de l’accord d’orthographe de 1990
