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Alcaraz, dîner sur verre aujourd’hui | Tennis | Sport

La pointe d’un pied entre secrètement sur le bord L’ascenseur de la galerie Philippe-Chatrier et la porte s’ouvre soudainement. Soudain, avec toute sa taille, le comte Dracula, l’homme d’affaires suprême et l’ancien joueur de tennis de Transylvano Ion Tiriac émerge. Les grandes lunettes assemblées en or sont l’une des moustaches barbus qui ne prédisent jamais un caractère doux. L’ancien champion de Roland Garros, aujourd’hui un homme d’affaires multi-Milyon-Dollar entre dans la cellule et va à l’interlocuteur affecté, peut-être qu’il le prend en Italien. Il a poursuivi: « S’il sert mieux que vendredi, il gagnera. » Dsö? « Monsieur, monsieur, bien sûr. » L’Italien, qui a un joueur de tennis total, n’est pas seulement parfait dimanche. Mais à l’époque, je ne connaissais même pas Tiriac, il serait joué dans un autre domaine.

Nouvelles, Cinq heures après vingt-deux minutes plus tard, la plus longue finale de Roland Garros et l’une des plus surprenantes de l’histoire du tennisÉtait-ce la naissance d’une nouvelle ère après un quart de grand siècle il a présidé Trois grands. La destruction de la faim de plusieurs génération de joueurs de tennis qui ont l’habitude de voir les finales de grands tournois de la galerie. Paris a été béni par le Bladosín nouvellement ouvert, qui est le Sin -sin -Spanish et le plus grand espagnol d’Alcaraz, et a ouvert la volonté devant tous ceux que nous connaissons déjà: l’héritage pour eux.

Un tel jeu, la première finale qu’ils jouaient, ne pouvaient gagner que. Ou profitez de la souffrance. Enregistrez d’abord deux ensembles sur zéro. Puis trois points de fête sont venus. Dans le coup d’État prime En deuxième place Cravate. « Zafer’s le plus obstiné », à cette époque, le soleil du printemps de Paris, qui a été illuminé dans l’un des stands de Philippe Chatrier, l’expression de Roland Garros, a rappelé le sacrifice et la stabilité requis par le sport d’élite avant de fermer les lumières du jour sur la piste. Bien qu’Alcaraz, comme indiqué dans l’excellent documentaire Sur mon chemin (Netflix)Le problème a une vision un peu moins protestante.

Les 15 dernières minutes de la série sont un répertoire impressionnant en faveur du sacrifice, presque tout, la nécessité d’abandonner la vie, pour être numéro 1. Mais en même temps, dans la bouche d’Alcaraz, la déchirure de ce principe, qui est incarné par les histoires des enfants qui sont généralement amenés aux frontières inhumaines par leurs parents, pour atteindre ma gloire. Agassi, Williams, Steffi Graf, Mary Pierce. Une terre émotionnelle dans les souvenirs d’enfance.

L’attitude d’Alcaraz envers le commerce – à sa manière – est également un portrait de génération sur sa relation avec sa propre vie. L’expression de la joie et de l’hésitation, après avoir remporté le troisième set, le premier qui a perdu le pécheur dans tout le championnat, le début de l’incroyable retour, Murcian a pris son oreille, comme si ce qui se passait, je ne vous entends pas, nous nous amuserons. Également contre l’idée du prêtre comme principe de base pour la victoire. Nous avons récemment vu en série et en livres. Dans notre entreprise. Une mobilisation générale contre l’idée qu’elle devrait nous fournir une plénitude, un plaisir et un bonheur sans considérer ce qui se passe lorsque la journée de travail est terminée. Et maintenant dans d’autres athlètes comme Lamine YamalDans l’idéologie tendre, le commerce peut être accepté par le divertissement à l’intérieur et à l’extérieur du domaine.

Ceux qui n’abandonnent pas dimanche, Alcaraz, qui n’a pas abandonné avant de quitter le poison, a commencé à entrer lorsqu’ils descendent lentement, s’amusant, en sortant la nuit, « explosion » à Ibiza, pour être bon avec lui, puis défend toutes ces légendes qui défendent clairement le besoin d’abandonner sur la piste. Seul un moyen de comprendre la vie et le sport devant les Brésiliens, mais est de plus en plus revendiqué par des athlètes distingués, mais aussi conscient du poids de la santé mentale et de la nécessité de garder vos démons à l’écart pour gagner vos démons.

Quelques limites comme cette finale stratosphérique, nous avons dû affronter quand il ne restait plus de jambe. Même le sacrifice total ou même s’échapper à certains moments n’y porte personne. Alcaraz et pécheur, après une fête qui est impossible à expliquer avec des statistiques ou une intelligence artificielle, maintenant, grâce à l’ambition et aux vertus de l’autre, les tranchées mythiques des tranchées mentales entrent dans le champ mythologique des grands athlètes. Messi et Cristiano Ronaldo, Fernando Alonso et Hamilton, Magic Johnson et Larry Bird, Arnold Palmer et Jack Nicklaus …

Sinner et Alcaraz obligeront une comparaison ennuyeuse avec les prédécesseurs au cours des prochaines années. Murcian, 22 ans, a remporté le cinquième grand islam en un mois en trois jours. Lorsque Wimbledon a gagné en 2008, Rafael Nadal est exactement le même que, mais aussi le cinquième grand islam. Une autre prophétie de s’en débarrasser. Même la nuit, comme il l’a dit dans le documentaire, dîner dans un verre.

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