On lui a demandé, Polsonaro, silence sur l’arrestation de Zambili: « Êtes-vous censure au Brésil ou non? » | politique

L’ancien président Gere Bolsonaro (PL) a préféré se taire au sujet de l’arrestation du député fédéral Carla Zambili (PL-SP), l’ancien collègue du parti et du parti. Au siège du PL en Brésilia, mercredi matin 30 ans, Bolsonaro n’a pas répondu à l’interrogatoire des journalistes sur cette question et s’est moqué: « Êtes-vous censure au Brésil ou non? »
Le député a été arrêté mardi soir 29 ans en Italie, après avoir passé deux mois à courir dans le pays. Zambili a été condamné à dix ans de prison par la Cour suprême (STF) pour avoir coordonné une conquête des infiltrateurs des règlements du Conseil national de justice (CNJ). Le député a déclaré que grâce à la citoyenneté italienne, elle sera « injustifiée » dans le pays.
Bolsonaro a été dirigé par son avocat faute d’entrevue parce qu’il a été soumis à des mesures de précaution imposées par le ministre de la Cour suprême (STF) Alexander de Mora. Bien qu’il ne soit pas interdit de mener des entretiens généraux ou des données, Bolsonaro ne peut pas communiquer via son réseau social ou son tiers.
Parmi les membres de la famille Bolsonaro, la seule personne qui a parlé jusqu’à présent de l’arrestation de Zilli est le sénateur Fle-RJ, qui a remercié le député italien Matteo Salvini pour « prêter attention à l’affaire » mercredi. Salvini, la direction yéménite du pays, a annoncé qu’il devrait rendre visite au député en prison.
Dans son dossier personnel (ancien sur Twitter), le sénateur a republié la nouvelle de la visite de Salvini à Zambili et a écrit qu’elle est « elle est également victime d’une persécution politique qui a été promue contre les alliés et Polsonaro du bon! »
Trois jours avant d’être arrêté samedi dernier, 26 ans, Zambili avait publié une vidéo sur ses réseaux sociaux, qui a remercié Flavio pour une demande des autorités de l’État européen à obtenir.
« Je voulais dire qu’aujourd’hui je me suis réveillé de très bonnes nouvelles, qui est une vidéo de Flevio Bolsonaro en train de parler de moi, et je me suis demandé pour moi, Giorgia Meloni (Premier ministre d’Italie), à Matteo Salvini, le directeur adjoint du Brésil, leur demandant de me recevoir parce que j’ai demandé une politique sophistiquée au Brésil du Brésil.
Carla Zambili était en Italie pendant environ deux mois pour tenter d’éviter de dépenser sa punition au Brésil. Selon Estadado avec les enquêteurs, Carla Zambili est vers 21 h au centre de la police fédérale à Rome, qui travaille à l’ambassade, avec les autorités italiennes.
Le député italien Angelo Bonley, qui est responsable de la remise de la police de Carla, a décrit comment une arrestation s’est produite, dans une interview avec ICL News Ce mercredi.
«À 18h40, en Italie, on m’a dit de la place de Carla.