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Moraes critique les expressions en fournissant des actions du coup d’État et en parlant de «l’organisation criminelle» | politique

Lors d’une session tenue le vendredi 1 Cour fédérale suprême (STF)ministre Alexander de Morais Les agents qui tentaient d’influencer le tribunal ont critiqué la fin des procédures pénales liées à la tentative de coup d’État au Brésil. Selon Mauric, ces articulations agissent comme s’ils étaient confrontés à « des gens de leur sein » et « milices », mais, comme il l’a mentionné, ils sont confrontés à des ministres du plus haut cas du pouvoir judiciaire brésilien.

Le ministre a catégoriquement déclaré: « Ils croient qu’ils ont affaire à des gens de leur sein, qui traitent également avec les milices. Mais ils ne le sont pas, ils ont affaire aux ministres de la Cour suprême brésilienne. »

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Morris dit que STF « ignore les sanctions » et accuse un groupe de tentative de soumettre à des intérêts externes
Le ministre parle de chantage, défend la souveraineté nationale et déclare que l’organisation pénale cherche à entraver les procédures pénales le 8 janvier

Le juge a également indiqué que ces personnes faisaient partie d’une « organisation criminelle » déployée contre les institutions du pays. Selon Mauric, cette structure cherche à interférer dans les décisions STF par pression extérieure, y compris l’utilisation des sanctions internationales.

« Nous voyons de nombreux comportements délibérés et répétés d’une véritable organisation criminelle sans précédent dans l’histoire du pays d’une manière montagneuse et d’une manière perfide de présenter cette Cour suprême au tamis d’un pays étranger. »

Selon Mauric, il existe également une stratégie délibérée pour utiliser les sanctions internationales comme moyen d’affaiblir les opérations liées à des actes non démocratiques, qu’il a classés comme « lâches et maigres ».

* Troisième Silva, le stagiaire de la presse, sous la supervision

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