Divertissement

Les accusés de violer une mineure se vante de ses amis: « Il n’a pas réduit son règne et n’a eu des relations sexuelles. »

Mercredi 16 juillet 2025, 10:45

Un jeune homme accusé d’avoir commis un crime continu de l’agression sexuelle à un mineur car il avait treize ans, et il a eu une relation de courtoisie pendant un an, car il se vantait devant ses amis avec ses actions, et constitue un crime car il peut ne pas y être abaissé et toujours avoir des relations sexuelles avec des relations sexuelles «  », même si elles n’ont pas de sexe. « 

Le ministère financier est requis pour l’accusé, le procès dans la première partie du tribunal du comté de Valence, une peine de prison de 16 ans, en particulier quatorze ans pour la poursuite de l’agression sexuelle dans un mineur et deux autres années de criminalité de violence psychologique habituelle, en la portant à la colère et aux insultes.

La défense a contribué aux messages dans lesquels l’enfant se rend compte qu’il se comporte pour se venger de « mettre ses cornes » avec son amie

Le jeune homme, qui a maintenant 20 ans, admet qu’il a eu des relations sexuelles avec le plaignant, sa petite amie, mais il a toujours accepté. La plainte est attribuée à la vengeance lorsque l’enfant a appris qu’il n’était pas fidèle à son ami.

La défense de l’accusé dans le procès a présenté plusieurs entretiens à la victime avec cet ami, seulement le jour de l’arrestation de l’accusé, en tant que coureur que son petit ami a été apprécié de « mettre ses cornes ». « Dites-lui cette bonne chance dans le donjon, haha », je suis drôle de le voir tomber dans le même trou qu’il voulait voir, « ainsi que d’autres messages sur les réseaux sociaux », tout ce qui vous arriverai, je ris du chien clown. « 

Les événements qui ont essayé mardi ont commencé derrière les portes fermées en novembre 2022, alors que l’enfant n’avait que 13 ans – bien qu’il ait été placé dans le procès qui a commencé à avoir des relations sexuelles avec 14 tandis que l’opération venait de terminer l’âge de la majorité dans les quelques mois suivant la connaissance. Pour être familier avec l’âge de sa petite amie, il a eu des relations sexuelles au domicile de la famille de l’accusé, à Valence. Le bureau du procureur fait valoir que l’enfant a convenu de peur de la colère.

L’enfant, en raison de son approbation émotionnelle, et malgré les insultes qu’elle a reçues de l’accusé, selon le pardon du procureur au résumé de son accusation, lui a demandé pardon et l’a suppliée de se calmer, comme si l’erreur était à l’extérieur. La répétition de ces cas de cette relation toxique entre les deux jeunes hommes, étant l’âge légal et le plus jeune de quatre ans, ainsi que la position agressive de l’accusé, a laissé tomber l’enfant « dans un état de peur continue qui l’a empêché de développer librement sa personnalité qui a causé sa position émotionnelle à l’accusé ».

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