Cavaliti (RJ), leader du PL à la Chambre des représentants, était contraire à la possibilité de construire une loi qui réduit les sanctions spécifiques 8 janvierComme alternative à Pardon pluset
Étant donné l’impasse quant à savoir si le texte proposé par PL entrera dans l’ordre du jour de la Chambre des représentants, l’une des solutions qui ont été rasées est de créer une législation spécifique pour réduire les sanctions des personnes qui ont considéré une participation secondaire aux attaques contre le siège des trois pouvoirs.
La proposition aura une diminution entre un tiers et une sixième pénalité pour les défendeurs avec moins de participation et conduira à une distinction entre les financiers, les organisateurs et les actes des actions.
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Selon le G1, Sustuns a déclaré qu’il n’avait pas accueilli l’idée d’un autre projet de pardon, qui a été soumis de toute urgence le lundi 14. Selon le G1, la possibilité est analysée entre le sommet du Congrès national et les ministres de la Cour suprême (STF).
« Je constate que la production anti-république qui a été négociée entre le Congrès et la STF. Ce sont deux pouvoirs indépendants. Il n’est pas normal de voir que la Cour suprême veut légiférer et parler normalement avec des membres du Congrès », a-t-il déclaré à The Gate.
Le parlementaire diffère également par la distinction entre les dirigeants et les participants à un post inférieur. Selon lui, « il n’y avait pas de managers, non financés » dans l’épisode.
La stratégie PL consiste à continuer de faire pression sur le maire, Hugo Motta (Republicans-PB), pour mettre un « pardon » pour estimer la session plénière à la Chambre des représentants. Sostenes admet que les changements dans le texte de la proposition peuvent être effectués après que Motta ait une relation du projet, mais elle n’en a pas spécifié.
La demande urgente a été soutenue par 262 députés pour la soumettre, mais il a besoin de 257 votes favorables pour être d’accord, s’il est dirigé. Selon le résultat d’Estadão, 207 députés étaient favorables au texte jusqu’à présent. Il y a 127 opposés, 101 qui ne voulaient pas répondre et 78 qui n’ont pas rendu les contacts du rapport.
Dans la pratique, les abonnements qui ont été collectés garantissent que la demande d’accélération ne peut pas être interrompue par le retrait d’un programme ou d’une demande de discussion.
Après la semaine sainte, le président Luiz Inacio Lula da Silva (PT) prévoit de rencontrer Hugo Motta et les dirigeants de la maison.
Cette tendance, selon les parlementaires qui accompagnait le voyage du président en Asie, est que si cela n’avait pas été pour des réunions avec les présidents et les surfaces du Congrès.