Le président de l’APESP rejette les demandes de licenciement contre Tarcisio par le biais d’une politique de tarif

Andre de Brado, président de l’Assemblée législative de SO, et Andre de Brado, ont rejeté deux demandes de licenciement contre le souverain Tarisio de Freitas, à qui les députés du PSOP ont déménagé. La décision a été publiée dans la Gazette officielle le lundi 28.
Une autre demande a été soumise la semaine dernière par cinq députés du siège, et le souverain a été accusé du crime de responsabilité de remplacer les messages autoritaires et la menace pour la souveraineté brésilienne après l’imposition de 50% du tarif sur les produits brésiliens, en plus d’une tentative d’allocation de l’ancien président Geer Bolsonaro – avant d’essayer de faire du coup – à un autre.
Dans la décision, Andre de Brado a déclaré que les messages qui avaient été remplacés par Tarisio se produisaient avant l’annonce officielle du tarif et ne constituaient pas une insulte à la souveraineté nationale. En ce qui concerne l’accusation selon laquelle le dirigeant aurait médiatisé lors du voyage de Polsonaro aux États-Unis, il est considéré qu’il n’y a aucune preuve pour conclure la Cour suprême ou l’enregistrement officiel de la demande qui justifie la plainte.
La première demande a été soumise au début de juillet par le représentant Eddine Maria (PSOL) et a accusé le souverain de responsabilité de participer à une manifestation aux côtés de l’ancien président Gayer Bolsonaro sur la rue Paulista le 29 juin. Le président Donald Trump à la défense de Bolsonaro.
En réponse à ces accusations prises par le député, le président de l’APESP a fait valoir que la simple participation du souverain à une démonstration générale ou à la propagation des opinions politiques, voire de la critique, ne menace, en soi, le travail du pouvoir judiciaire ou de la souveraineté nationale. L’affaire indique qu’il n’y a aucune preuve que Tarcísio a cherché à nuire à l’autorité judiciaire ou à attaquer contre le système constitutionnel, et que sa présence dans un acte dans lequel des tiers ne peuvent pas utiliser les tribunaux supérieurs pour le blâmer, tout en respectant le principe de la personnalité de la punition.