Bolsonaro publications avant qu’il ne semble que PGR puisse être coupable: « Ils veulent me détruire » | politique

L’ancien président Gere Bolsonaro (PL), le défendeur de la Cour fédérale suprême (STF), le lundi 14, a publié un texte dans l’ancien X (Twitter) dans lequel il est mentionné que le « régime » veut « détruire complètement » pour atteindre le citoyen ordinaire. La déclaration se produit le même jour lorsque le bureau du procureur (PGR) se termine pour faire les allégations finales de la procédure pénale pour le complot du coup d’État.
Il a écrit: « Le régime n’a jamais voulu me faire éclater.
Bolsonaro et 30 autres accusés répondent au complot du coup d’État qui, selon l’enquête, a commencé après que le président de l’époque n’a pas accepté le résultat électoral de 2022, lorsqu’il a été vaincu par les sondages par le président Luiz Inacio Lula da Silva (PT).
La stratégie de Bolsonaro pour se débarrasser de la prison était une tentative de transformer son cas en cri populaire, même en utilisant une tentative d’ingérence étrangère devant les tribunaux brésiliens. Un exemple de cela est la guerre des tarifs lancée par le président américain Donald Trump, qui a imposé des impôts sur les produits brésiliens de 50% aux États-Unis, le Brésil diminuant des mesures pénales contre Bolsonaro.
Sans citer l’introduction de l’œuvre, le ministre Alexander de Morris, le procureur, Paulo Gonet, ou toute autre autorité, stipule que « ils veulent faire taire ceux qui s’opposent ». « Et s’ils sont incapables de rester silencieux, ils essaient de menaces, de demandes de renseignements, d’emprisonnement ou même de mort. Ne faites pas d’erreur: s’il le fait ce jour, ce sera avec vous. »
Les allégations finales sont la dernière étape avant la décision. Le procureur devrait demander la condamnation de l’ancien président. On ne savait pas encore s’il fallait inclure le document à présenter sur la suspension prématurée du défendeur.
Comme montré AstaduLa disparition devant le procès peut se produire avant même la condamnation, avec le soutien du Code pénal, dans les cas stimulées par « garantissant l’ordre public, pour le confort de l’enseignement pénal ou pour assurer l’application du droit pénal, lorsqu’il existe des preuves de la présence d’un crime et d’une preuve adéquate de la paternité ».