Dino compare l’essai aux amendements parlementaires à la fin du monde: « Je distingue toujours l’histoire » | politique

Le ministre Flevio Dino a comparé la Cour suprême fédérale (STF) la décision de s’engager à mettre en œuvre les amendements parlementaires importants à la fin du monde. Les données ont été faites aujourd’hui dans le Forum juridique de Lisbonne, qui a été fabriqué au Portugal. Cet événement est appelé « Gilmarpalooza » à organiser par l’Institut du droit public, qui est le partenaire de son partenaire, Gilmar Mendes.
« Je suis chrétien, et donc je pense qu’à un moment donné, il y aura la fin du monde, mais je n’ai pas encore distingué l’histoire, parce que je ne sais pas quel jour nous jugerons l’imposition des ajustements dans la tige », a-t-il déclaré en plaisantant.
« Ce sera une sorte d’objet horrible car c’est presque Ctrl + Alt + Del dans le système politique brésilien », a déclaré le ministre, en ce qui concerne un ensemble de clés utilisées sur les ordinateurs pour redémarrer l’équipement ou la gestion des tâches après un certain échec.
« Nous devons suivre une approche procédurale, progressive, étudiée et modérée, tant que les autres acteurs institutionnels le permettent. Je me souviens de cela, les freins et le poids d’équilibrage. Nous ne voulons pas la fin du monde, mais si les autres veulent, que faisons-nous?
Le ministre a également souligné que les formidables amendements « diffusent déjà quatre ou cinq présidents, tous avec beaucoup de difficulté ».
La semaine dernière, la Cour suprême a tenu une audience publique pour discuter de l’affaire, qui a été discutée dans les procédures soumises par l’Association brésilienne de la presse d’enquête (ABRAJI), le bureau du procureur (PGR) et le PSOL. Les auteurs demandent si l’engagement à mettre en œuvre ces dépenses est compatible avec le principe de séparation des pouvoirs, du système présidentiel et de la responsabilité financière.
La procédure appelle que les modifications parlementaires ne sont plus nécessaires, si le pouvoir exécutif doit transférer les ressources mentionnées par le Congrès aux bastions électoraux.